Papiers, S.V.P :


Nom : Takuma
Prénom : Hoshi
Surnom(s) : Le papillon pourpre
Sexe : Masculin
Age : 22 ans
Origine : Irlandaise
Camp : Neutre
Rang : Exorciste
Orientation Sexuelle :… Qui s’y frotte, s’y brûle… Mais la tentation est le plus beau des brasiers…


Dis moi qui tu es :

Description physique :

Hoshi est un être des plus particuliers, vous allez vite comprendre pourquoi.

Quand les rayons du jour percent les lourds rideaux de sa chambre, on peut distinguer la silhouette nue d’un jeune homme sous les draps de satin rouge, rouge comme le sang, une couleur qui tranchait de façon net avec sa peau ivoire tout en rappelant sa chevelure mi-longue qui était d’une teinte beaucoup plus vivante. S’étirant félinement, la personne dévoila sensuellement sa fine musculature, le soleil réchauffant délicieusement sa peau blanche couturée de cicatrice à cause de ses combats, ajoutant une touche de sauvagerie à son physique efféminé, tout en faisant s’entrouvrir ses lèvres pleines pour laisser s’échapper un léger gémissement de bien-être, une voix qu’on sent légèrement rauque mais sans jurer affreusement avec son apparence. Ourlant délicieusement ses lèvres d’un sourire paresseux, le jeune homme finit par se relever et se diriger vers sa pièce d’eau, son allure souple et ses gestes gracieux rehaussant sa beauté androgyne, ignorant fermement son reflet dans le miroir.

Pourtant l’espace d’un instant, on peut apercevoir son corps en entier, comme un arrêt sur image. Les longues mèches écarlates entourent délicatement le visage ovale, ses yeux couleur d’un ciel d’été glacé vous fixaient sans détour et sans faux semblants. Les pommettes hautes et le nez droit, légèrement pointu, de fins sourcils tout aussi rouge que ses longs cheveux mais dont certaines mèches cachent une petite cicatrice, vestige d’une bagarre de taverne il y a quelques années, Hoshi, de son nom, s’habillait en cuir généralement pour une question pratique, toujours en noir parce qu’il s’agit d’une couleur qui lui correspondait bien selon son avis. Mais il avait beau être d’une beauté attirante et fragile, il dégage une aura de froideur et de distance, son visage était impassible et souvent las, méfiant par moment quand on tentait de l’approcher.

Cependant il ne s’agit que de son premier visage. L’autre était différent et quelque peu dangereux. Hoshi se souvient de l’avoir vu une fois d’ailleurs, cet autre qui l’habitait et qui disait se nommer Tsuki. Il avait les cheveux d’un blond pâle, presque lunaire, et les yeux d’une douce couleur lavande, mais rien n’était doux et innocent chez cet être qui cohabitait avec lui dans son corps. Il n’y avait qu’à voir sa démarche ressemblant à un tigre en train de chasser, ou encore la moue méprisante et joueuse qui sculptait ses lèvres, tout dans son opposé respirait le danger attractif.

Description Morale :

Hoshi est un être méfiant et parfaitement au courant de ce qu’il est. Il sait parfaitement qu’en plus d’être un associable paranoïaque, il est aussi un pervers psychopathe, un schizophrène, et ça, ça l’effraie.

Quand il est dans son état normal, ce jeune roux a peur des gens, du pouvoir qu’ils auraient sur lui s’il les laissait pénétrer dans son monde d’où sa méfiance très importante. Bien que cela ne l’empêche pas de coopérer avec eux quand il le juge nécessaire, cette peur paralysante le rend susceptible et coléreux, lui faisant prendre une voix acide et sarcastique, ainsi qu’un regard plus glacée que jamais, attirant malgré lui les gens parce qu’ils voient sa fragilité. Dans les rares moments où il est au calme, sans pression extérieur, Hoshi est quelqu’un de tout aussi serein et paisible, son visage arborant une moue rêveuse et amer, comme déçu par son existence, ses yeux vagues et tristes : il aimerait beaucoup se sentir normal, se débarrasser de Tsuki en somme, et trouver la personne qui pourrait l’aimer malgré le danger qu’il représente.

Mais quand Tsuki prend le contrôle, les choses sont nettement différente. Il s’agit là d’un être très expressif et bruyant, agaçant et mauvais : il adore embêter les gens, les pousser dans leurs derniers retranchements, les dominants avec une force brute et rarement élégante. Cette déviance mentale le fait paraître pervers, aguichant hommes ou femmes, vieux ou jeune, sans aucune réelle importance, dès l’instant où cela sert ses intérêts égoïstes. Mais quand il voit la lune, il se fait plus félin et sensuel, mélancolique et un peu plus doux même s’il n’en reste pas moins quelqu’un qui est vraiment dangereux et instable.

Mais, malgré tout, cette folie effrayante l'enivre au plus haut point. Elle lui permet de satisfaire ces sombres envies et ce besoin de sentir le sang couler. Pourtant, le prix à payer est la solitude, la haine, le dégoût et la perte de contrôle: il est incapable de se dominer quand il perd son sang-froid alors il fait de son mieux pour ne pas le perdre.

Pouvoir :

Hoshi possède une innocence de type parasite : un papillon couleur violet, Murasaki( cf les papillons dans « Prétéar »). De la taille d’une main, il est de couleur violine et le pourtour de ses ailes, ainsi que sa tête et ses pattes sont de teintes noires. D’apparence fragile et éphémère, Murasaki est mortel : d’un simple contact, il provoque une mort lente et douloureuse, le battement de ses ailes peut délivrer un poison paralysant ou soporifique, il peut aussi se démultiplier. Mais l’usage de cet être illusoire est dangereux pour Hoshi : à trop long terme et sous l’afflux de puissantes émotions comme la colère, la peur ou le plaisir sadique, Tsuki prend place et le jeu prend une tournure encore plus violente.

Une fois ce type de combat extrême fini, quand le roux reprend sa place, il est obligé de rester une semaine alité, mais sinon il s’en sort juste avec une affreuse migraine et une forte douleur au niveau de son tatouage sur son torse, au niveau de son cœur : un lys dans un ouroboros, le symbole de son lien avec Murasaki.


Rancontes moi ton histoire :

Histoire :

Ce matin, j’ai 22 ans et pourtant j’ai l’impression que c’était hier ma vie d’avant, que le temps n’a jamais bougé alors que ma plaie ne cesse de déverser ce beau liquide rouge sur ma peau. Oui, il y a 13 ans, ce fut la première fois qu’il coula aussi abondamment… Je me souviens… Ce jour de Saint-Patrick…

Hoshi est né un jour de Saint-Patrick, le 17 mars, un jour de faste pour les irlandais qui célèbre le saint du même nom, le nom de ce jeune homme vint par contre de sa signification qu’un ami étranger leur suggéra et qui leur plût instantanément. Ses parents virent en lui une bénédiction, un cadeau de leur saint-patron, et Hoshi fut aimé et choyé par tous, les gens de son village faisant de ce petit être leur fils à tous, et il grandit sans réels soucis autres que ceux des enfants normaux. Mais un être comme lui, né lors d’une fête bien spéciale, ne pouvait être que différent lui aussi, et c’est à ses 9 ans que tous se rendirent compte à quel point.

Petit garçon et typiquement irlandais, Hoshi adorait se promener dans les bois de son village natal en compagnie de son meilleur ami imaginaire, Tsuki, pour chasser les papillons et essayer d’attraper des poissons, jouant dans l’herbe et offrant un bouquet de fleurs à sa mère pour se faire pardonner de ses vêtements qui de propre étaient passés dans des tons verts et marrons très suspect. Le jour de son anniversaire, sa mère l’avait envoyé jouer dehors pendant qu’elle lui préparait une petite fête en ce jour glorieux, et en enfant chahuteur, il en avait profité pour attraper un papillon, mais pas n’importe lequel : un papillon violet qui arrivait à lui chanter des paroles dans l’oreille. Hoshi avait suivi les conseils de Tsuki et avait chapardé un peu de miel et un gros bocal pour attraper enfin ce bel être virevoltant nonchalamment sous son nez alors qu’il n’arrivait pas à l’attraper.

Quand il revint sous les appels incessants de sa mère, il était comme absent dans son corps, ses beaux yeux cristallins froid et sans le moindre pétillement d’innocence et de vie. Couvert de sang et ses vêtements en lambeaux, le petit garçon tenait avec une force désespérée le bocal qui contenait le beau papillon violet de ses rêves. Il ne répondait pas aux inquiétudes des gens, se contentant d’agir comme une simple poupée, une marionnette, et nul ne sut ce qu’il avait bien pu se passer. Ce jour-là, Hoshi fêta une nouvelle année de sa vie mais aussi la mort de sa naïveté d’enfant.

Les jours passèrent, puis les semaines et les mois, mais jamais il ne redevint comme avant, ses parents déclarèrent même que son état avait empiré : il parlait tout seul, ou plutôt il discutait avec « Tsuki » et « Murasaki », déclarant simplement à ses parents angoissés qu’il s’agissait de son papillon et de son ami qui parlait dans sa tête. Cela brisa sa mère et son père lui fit une chambre dans la cave, l’enfermant à double-tour et ne lui ouvrant que pour lui donner de la nourriture, ne réessayant pas de lui enlever son papillon puisque la fois où il avait essayé, il avait retrouvé Hoshi à demi-mort dans la douche. La famille se désagrégea peu à peu et la mère de notre roux finit par rendre l’âme par désespoir, laissant un homme amer et rongé de regret et un enfant qu’ils jugeaient tous fous.

Les années passèrent et Hoshi grandit, s’embellissant de plus en plus, et comprit de plus en plus de chose : il avait seize ans. Premièrement qu’il ne devait avoir confiance qu’en lui-même : ses parents l’avaient trahis et renié, l’enfermant dans une cave, loin de tout et le considérant comme un monstre et une erreur de la nature, une malédiction. Deuxièmement, que Tsuki était en fait une facette de lui-même, un être conscient et à part entière mais avec qui il partageait son corps, un peu comme « deux âmes dans un corps », mais surtout que Tsuki était encore plus fou et dangereux que lui. Troisièmement, que Murakami et lui était par une sorte de pacte qui avait été fait sur sa peau quand Hoshi vit le tatouage particulier sur son torse. Et quatrièmement, qu’il devait partir, fuir loin de ce père qui devenait à son tour fou depuis la mort de sa femme. Le roux en avait marre de manger peu et de subir coups et hurlements. Il devait partir maintenant.

Attendant la nuit tombée, il délivra son papillon qui le guida vers un vieux soupirail oublié de tous et assez étroit. Remerciant sa carrure chétive, Hoshi prit la porte de sortie, ignorant ses blessures dû aux morceaux de verre avant de partir loin, loin d’eux et de ce village encore plus fou que lui, disparaissant dans les bois.

Après quelques mois de silence, il réapparut sous le nom du « papillon pourpre », un exorciste neutre mais puissant et surtout fou dangereux. Comme le jour de ses 9 ans, peu de personne sut ce qu’il avait bien pu se passer durant ses 4 mois de solitude, mais tous comprirent qu’il fallait être prudent avec ce type très instable. Il accepte certains contrats pour gagner de l’argent et suit avec attention le déroulement de la guerre entre les différents clans, mais il n’est pas vraiment satisfait de tout cela : il lui manque la personne qui le délivrera dans sa folie, qui arrivera dans sa vie pour l’aimer pour ce qu’il est et qui acceptera tout en étant accepté de Tsuki.




Prénom : /
Age 21 ans
Points Positifs du forum : Un monde qui m’a l’air bien intéressant et dans lequel j’ai hâte d’évoluer
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Comment avez vous connu le forum ?! : Grâce à mon Jamesinouchet d'am-... euh... James Alexander ^^'
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Commentaire : Bah je suis complètement fou et fan de yaoi, de RP, d’écriture, de musique… Euh je suis l’innocence incarnée ? Nan ça marche pas ? snif bon bah je suis un pur sadique qui adore mordre, complètement excentrique et… eh ma camisole ! oh voleur ! *disparaît dans le loin*