Before I paint Venise in red [PV: James]

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Quelque heure avant « Le dernier carnaval de Venise ? »

Venise au carnaval, un jour remplie de joie et de bonne humeur où le costume et le jeu de scène est de mise. On peut faire tous ce que l’on veut sous un masque, enfin presque. Et même si notre jeune américain ne porte pas de véritable masque c’était tout comme. Son masque c’était son enveloppe corporelle et c’était le meilleur masque qu’il soit. Tous les humains tombaient dans le panneau.
D’assez bonne humeur et voulant jouait avec ces humains, il entra en trombe dans un bistro plein à craquer. Il s’avança avec un sourire béant et prit place au comptoir :

- One glass of wisky lacy !

- Lacy ?!

Rétorqua la patronne outrée avec l’accent italien le plus mignon de monde. Elle l’assomma alors à moitié avec une chope de bière. La tête contre le comptoir et grimaçant :

- Please Miss...

- That’s much better !

La foule rit et lui de même. Heureusement pour lui qu’il n’y avait pas d’être akuma sinon il aurait était considéré comme un faible. Il avait beau s’amuser, ce tord n’aller pas rester impunie. Attendez juste quelque heure… Ça le faisait rire de plus belle. On lui servit enfin son verre.

- Grazie !

Déclara-t-il avec un grand sourire et un accent pitoyable qui rendait le mot presque méconnaissable. La patronne lui répondit avec un sourire et un rire, trouvant sûrement son accent comme drôle. Sirotant son verre et jouant avec les glaçons, il observait l’homme sur sa gauche. Un homme trapu avec un masque noir à long nez, perruque poudré, chemise à jabot et cape noir. Il avait du mal à tenir debout, son verre entre ses doigt menacer de glisser et de s’écraser au sol. L’homme de rouge trouvait ce masque bien amusant. Il lui rappelait un colibri. Il s’imaginé facilement un beaucoup plus beau jeune homme avec un air enfantin plonger ce bec dans un verre de vin rouge et levait le yeux sur lui d’un air aguicheur. Et voilà qu’il se retrouver avec ce gros tas. Il soupira. Le vile homme colibri se retourna et lui jeta un regarde plus noir que son masque.

- What are you looking at ?!

Michael le regarda en fronçant les sourcils. Cet homme étant vraiment repoussant. Bedonnant, ivre de si bonne heure, la voix roc et l’accent le plus désagréable à entendre.

- You want a piece of me ?!

- Now now take it easy...

Il se recula d’un pas et sentit un bras contre son dos. Se tournant légèrement pour voire son propriétaire, la seul choses qu’il vit c’était un reflet de lunette, encore quelque degré d’inclinaison et le reflet de dissipa et il put voire des iris d’un bleu profond, d’un bleu royale. C’était tous ce qu’il pouvait voire. Il ne savait si ces iris appartenaient à une femme ou un homme, si il ou elle était mécontent de s’être fait bousculer ou pas. Le visage de l’akuma devait sûrement reflétait toute sa surprise.

- Hey Strappo !!

Strappo ? Vu l’intonation ça devait être une insulte… Se détournant de ces beaux yeux pour revenir à l’ignoble colibri, il fut surprit de le voire brandir une bouteille la tenant par le goulot. Il voulait faire quoi ? L’assommer ?! Il se retourna vivement vers le chef d’œuvre et le prit comme pour valser, ne voyant toujours que ses yeux, le fessant penchait en arrière pour éviter le coup. Coup qui ne vient jamais puis que cet ivrogne avait lâchait la bouteille trop top. Elle alla s’écraser sur une table non loin d’eux. Les occupants de la table étant eux aussi bien beurré, ils se levèrent protestant et vinrent touchait deux mot au colibri. Deux mots ? Pas vraiment, c’était devenu une bagarre de bar oui. Tout le monde s’y était mit. Et Michael qui croyait que ce genre de chose ne se passer que dans le far West de son pays natale… Ah la la… Il n’avait pas bougé d’un pouce pendant tous cela, tenant encore cette personne à la renverse comme pour danse. Il la releva, relâcha sa taille mais pas sa main. Ne voulant pas prendre part à cette ridicule bagarre et ne voulant pas que ces beaux yeux soit blesser il traîna cette personne avec lui, descendant une volé d’escalier et arrivant dans la cave à vin. Il lâcha sa main avec élans comme pour la jeter dans la pièce et ferma la porte à clé derrière eux. L’homme de rouge plaqua son oreille et ses mains sur la porte pour écouter. Apparemment personne ne les avait suivit ou même remarquer. Il entendait encore clairement les hostilités. Il se décolla enfin et retira ses lunette teinté qui lui empêchait de voire plus qu’autre dans cette semi pénombre, puis se retourna avec un sourire gêner, passant ses doigt sur sa nuque.

- Sorry about that… Let’s just stay here until it calmes down up there.

Venise, ville des amours, Venise la romantique, Venise et son carnaval... Ouai, autant de foutaises pour les gosses et les demoiselles bien dans leur souliers qui aspiraient à se faire enlever par un prince charmant, un joli spectacle bien loin de la réalité. Parce que, mine de rien, la ville sombrait peu à peu dans les flots, ça tout le monde le savait, la lagune gagnait du terrain chaque année et personne ne savait quand l'eau viendrait lécher le perron des portes les plus basses et puis il avait vu assez de rat sur le bord des rues étriquées pour sentir la misère que les locaux tentaient de dissimuler à la foule de voyageurs... stupide et totalement indécent, non mais quoi, ils avaient honte ? C'était leur faute après tout si rien n'était fait à l'encontre des malheureux qui croupissaient dans la misère noire et humide des ruelles où aucun touriste n'allait, c'était la faute des miséreux si ils se laissaient broyer par la vie jusqu'à n'être plus que des coquilles vides d'hommes dont on ne pouvait plus rien tirer, c'était la faute des touristes si ils ne voyaient rien ou plutôt refusaient de voir quoi que ce soit... parce que visible ça l'était et même sacrément. Quand à lui il n'avait rien à dire, il pensait ce qu'il pensait, le reste du monde n'avait pas besoin de le savoir, et puis après tout il n'était pas un bon samaritain pour venir en aide à la veuve et à l'orphelin... exorciste ça ne voulait pas dire crétin à plumer. Lui était venu pour une raison très simple, bassement terre à terre et égoïste si on pouvait appeler cela de l'égoïsme, il ne faisait que ce qu'il avait à faire après tout mais les niaient à la moralité opportuniste ne manquaient nullement... Il était là parce que Venise était une ville marchande de grande importance et qu'il transitait ici nombre d'individu et d'objets, double bénéfice puisqu'il devait faire affaire et tenter de retrouver la trace de cette damnée gamine à qui il devait une convalescence trainant en longueur...

A cette pensée il passa machinalement là main sur la chaine de son poignet droit, s'assurant qu'elle était bien là. Depuis que son innocence s'était réveillée il avait dû faire preuve d'une attention soutenue pour ne pas perdre les ornements qui avaient tant de valeur à ses yeux... le moindre tire laine, le moindre détrousseur ou tout simplement un geste trop brusque et il risquait de se voir amputé d'une partie de lui même. Chose qu'il ne souffrait pas de voir se produire. Jamais, même si il devait tuer pour les conserver... Il attrapa son verre et bu une gorgée, l'alcool brulant tapissant sa gorge d'un feu agréable et faisant un instant bouillir son corps rigide comme la pierre. Il fixait son poignet, plongé dans des souvenirs datant d'avant... avant son entrée en guerre, avant le coup de feu, avant la noé, avant tout ce pour quoi il vivait à présent et une bile amère monta à sa bouche qu'il chassa d'un nouveau trait de feu, les souvenirs n'apportaient rien de bons, ils ne faisaient que vous clouer sur place. Il avait une tâche à accomplir, pas le temps pour des broutilles, pas le temps pour un passé....

Il était si absorbé par ses réflexions que le monde autour de lui s'était estompé, absent, n'existant plus... et après tout il n'avait aucun intérêt, si il était là c'était pour un verre et des informations, rien d'autre, la liesse général ne lui inspirait qu'un profond dégout et un sentiment de malaise violent. Il n'aimait pas la foule compacte, il n'aimait pas cette ambiance pleine de stupidité mais son verre de whisky était le bienvenu et la patronne plus intelligente qu'il ne l'avait cru malgré sans langue bien pendue et son sourire facile. Le bar n'était pas assez important pour qu'il le garde en tête, une fois fixé sur un sujet il ne lui fallait pas beaucoup d'effort pour se débarrasser du reste... si on ne comptait le sombre crétin qui venait de s'aplatir à demi sur lui bien entendu... Il tourna rapidement la tête vers la source du contact physique inopportun, sourcils froncés et yeux lançant déjà des éclaires froids, ses lèvres s'ouvrant par habitude sur une réplique cinglante destinée à remettre l'animal à sa place. Mais les mots moururent sur sa langue tandis que son esprit reprenait conscience de son environnement et que son froncement de sourcil ne s'accentue devant la scène qui se jouait... ah... un ivrogne... décidément les plaisantes surprises se multipliaient à une vitesse alarmante...

Mais avant qu'il ai pu dire ou faire quoi que ce soit il se retrouva entrainé dans un tourbillon de mouvement et de touchés qui firent bondir sa peau, il n'aimait pas qu'on le touche, encore moins lorsqu'il s'agissait d'un inconnu. Il s'était instantanément tendu, prêt à frapper, à activer même son bouclier pour rejeter l'homme au loin et tant pis pour la discrétion... mais encore aurait il fallu qu'il en ai le temps, hors ça ne semblait pas de mise puisqu'avant de comprendre de quoi il en retournait il se retrouva enfermé dans la cave du bar en compagnie de celui qui l'avait bousculé.

Il reprit progressivement la mesure de la situation en l'observant d'un regard critique, le regard qu'il dédiait en général aux mendiants qui osaient s'accrocher à lui pour lui demander une pièce et encore était il magnanime à leur égard comparé avec ce qui lui traversait l'esprit en cet instant. Ses lèvres le démangeaient, les répliques brulantes se formaient dans son esprit pour mourir sous le poids les une des autres, ses doigts fourmillaient de le frapper et, pire que tout, les chaines du juge ornant ses poignets semblaient fourmillaient tout autant... tout son être brulait de réduire le résidu d'humanité imbécile à l'état de bouillie mais la maitrise de soit était trop ancrée en lui pour qu'il se laisse aller à la fureur que l'autre avait produit. Il se savait malade, il se savait à demi sociophobe et précisément l'engeance était entrée dans son espace vitale... Du tourbillon furieux qu'il vivait rien n'apparaissait sur sa physionomie si on excluait ses yeux au bleu glacé qui vrillait l'homme avec une froideur antarctique et ses lèvres pincées, scellant son envie d'agonir le roturier de tout ce qui lui passait par la tête, de l'insulte la plus basique à la plus imagée en passant par les quatre vérités qui méritaient d'être dites... oui mais voilà il était justement un roturier, un moins que rien et à ce titre ne méritait nullement qu'il se rende malade pour lui, ne méritait nullement qu'il gaspille son temps à une tâche qui serait sans nulle doute sans bénéfice, la stupidité était une maladie incurable à son grand regret.

Il tourna à demi la tête et écouta les bruits de bagarres qui provenaient de l'extérieur, sa réprobation montant encore d'un cran. Des deux cas sans espoirs qu'il avait rencontré en moins d'une demi heure c'était bien l'ivrogne qui gagnait la palme... boire était un passe temps et un plaisir, boire pour apprécier l'alcool était concevable, boire à se rendre ivre et perdre toutes ses manières si tant est qu'il en eu jamais eu... c'était un crime qui aurait dû être passible de la prison si non d'une bonne correction. Inutile de raisonner avec des animaux toutefois, l'idiot en rouge avait raison, mieux valait attendre de rester là. Tien il pouvait émettre une suggestion sensée celui là ? Peut-être n'était il pas totalement perdu au final ou alors il s'agissait là d'un numéro répété un grand nombre de fois et il n'y avait aucune gloire à en tirer...

Il observa l'homme de haut en bas puis émit un « tssss » réprobateur en croisant les bras, prenant appui sur une caisse en bois. Il y avait bien des choses qui lui venait en tête : who are you to tell me what i should do ? What had give you the right to lock us here ? Who do you think you are to even lay a hand on me like this ? Will you even ask for my forgiveness after what you've done ?
Mais il n'aimait pas dépenser de salive inutile, aussi il finit simplement par répondre : « For a stranger you're quite casual... » puis il ajouta plus sèchement « Don't think I care but since you so cleverly locked us here for some time I suppose I have to feel the need to entertain you, or at least that what those human shaped sheep would do right ? » Puis il croisa les jambes et le cloua sur place sans ajouter une seule parole.

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Michael pouvait enfin voir le propriétaire de ces beaux yeux en entier. Un jeune homme au teint mat et à la chevelure sombre. Coiffé assez excentriquement. Il était bien agencé. Le reflet vue précédemment provenait effectivement d’une paire de lunette. Un peu plus petit que lui mais cela était normal vu la taille de géant de cet akuma. Il avait un petit air mécontent qui plaisait beaucoup à notre jeune blondinet. Il ne pouvait s’empêchait de sourire, heureux de sa « prise ». Un petit « tsss » de sa proie le fit sourire de plus belle. Puis il fut assez étonner des propos du jeune homme. Définitivement un concitoyen vue l’accent. Michael ne put se retenir de rire.

- Human shaped sheep ! Nice one ! I’ll have to remenber it!

Alors comme ça sa petite ingénue se placé en dehors de son groupe? Pourtant Michael n’avait aucun doute sur le fait qu’il soit un humain. Ça lui plaisait. Ça lui plaisait même beaucoup.

- You don’t need to do anything if you don’t want to. It would just fill the silence and make the wait sorter.

C’est vrai, il n’avait rien à faire vraiment. Juste rester là. Parce que dans la tête de notre chère akuma humain rimait avec divertissement. Peut-être que dans quelque minute le silence serait de trop mais bon. Pour l’instant c’était suffisant. Adosser au mur, un bras croisé, l’autre lui soutenant le menton, il le regardait en souriant paisiblement. Enfin il le dévorer des yeux oui ! Mais il ne laisser rien apparaître autre qu’un doux sourire.

Parmi le monceau de stupidité qui se nommait humanité il y avait à déplorer plusieurs sortes de phénomènes dans la catégories ' sociable ', les innocents qui pensaient que tout le monde leur voulait le meilleur bien possible et cueillaient des fleurs à tout bout de champ, ceux qui avaient quelque chose en tête mais n'osaient pas s'approcher, bégayant et offensant ses oreilles de leurs braiments, et également ceux qui avaient une idée derrière la tête, qui n'avaient pas froid aux yeux et pensaient que se montrer joyeux et amical leur gagnerait ce qu'ils cherchaient... autant dire que ceux là était les pires à ses yeux tant leur bêtise était abyssale... et en général il les évitaient comme la peste noire quitte même à les bruler si il avait eu l'occasion sans devenir un criminel. Hors cela semblait être exactement dans les plans de l'autre de se montrer amical ce qui, considérant les griefs qu'il avait à son encontre, risquait fort de se finir... mal... pour rester euphémiste et un minimum optimiste. Son regard toujours fixé sur lui il évaluait ce qu'il voyait, de la stature imposante de l'autre au sourire qu'il affichait en passant par sa posture nonchalante... mouai, un combat physique risquait fort de le voir perdant si on se basait uniquement sur les muscles, il n'était pas un titan et se reposait sur sa vitesse et sur son endurance pour défaire ses adversaires. Et il y avait les trois, les chaines qu'il portait, en cas d'affrontement il pouvait y avoir recourt sans sourciller, surtout qu'au dernières nouvelles l'énergumène était un humain et non un akuma ou un noah, il aurait sans doute attaqué directement si cela avait été le cas mais dans une telle situation était ce fair play que d'user de son innocence contre un simple crét.. humain lambda ? Mouai, aussi inutile qu'il puisse être ça n'était pas une bonne idée, il n'avait pas encore fait quoi que ce soit qui justifie l'usage d'une telle mesure. Il ourla un délicat sourcil devant le rire de l'autre mais ce fut tout.
Puis qu'on le dispensait gracieusement de contact même oral il n'avait que faire de l'autre, il détourna finalement les yeux et s'éloigna, dépoussiérant un tonneau avant de s'assoir dessus en tirant un petit livre de sa poche, l'ouvrant et reprenant une lecture antérieur à sa visite au bar, rangeant le blond au rang de meuble dans ce nouveau décor mais gardant une oreille attentive aux sons étouffés qui provenaient d'en haut. Il ne détectait toujours rien, même si ses poignets semblaient alourdit par une menace étrange mais après tout même l'innocence pouvait se tromper non ? Pourquoi s'inquiéter outre mesure... et puis ne pas s'inquiéter ne voulait absolument pas dire qu'il baissait la garde, si quelque chose venait à advenir il ne perdrait pas dix secondes à réfléchir.
Son regard se perdit dans les lignes, dans les mots, là où rien ne l'agaçait ni ne le dérangeait, il était bien et paisible et pouvait alors s'offrir une pointe d'humanité contrôlée... et sans qu'il s'en rende compte il se mit à suivre l'air d'une chanson qu'il connaissait.

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Michael regarda le jeune homme partir et s’installer sur un tonneau pour lire. Attendez une minute ! Il venait de se faire totalement ignorait là ! D’acore il lui avait dit qu’il n’était pas obliger de parler mais quand même ! Être ignoré à ce point !! Ça le sidéré. D’habitude il faisait plus d’effet que ça au gens. Contrarier mais décider de ne rien laisser paraître il se dirigea vers le côté opposé de la salle. Quelque chose en verre attiré son regard. Un baromètre atmosphérique. Ah ! Parfait ! Il le tapota d’un de ses doigts gantés pour bien remettre l’aiguille en place. Ces bêtes là quand elles sont veille ont du mal à donner leur verdict. Temps lourd ? Parfait. Même splendide. Ce soir aller être magnifique. Il se douter parfaitement de la raison de son transfert. Et il ne pouvait s’empêchait d’être impatient. Oui, ce soir aller être magnifique. Il aller illuminer le ciel et repeindre Venise… en rouge. Tout ces pauvre humain qui aller y passer… ah… il sentait son sang bouillir. Et si on se faisait un petit en cas ? A cette pensé il se figea. Non. Il voulait faire autre choses du jeune humain que de directement il réduire en charpie. Oui, il voulait quelque chose de plus subtile et de plus grandiose. Quelque chose à la hauteur de ces beaux yeux bleus profonds. Et s’il y passer dans le massacre de ce soir ? Tant pis et dommage. Ce ne serait pas de sa faute de toute façon. Lui demander combien de temps il aller restait dans cette ville ou lui conseille de partir était hors de question. Il n’était pas aussi bête que ça. Hum ? Qu’es-ce que… ? Le jeune asociale fredonner ? Sérieusement ? Michael lui lança un regard étonner. Il avait un peu du mal à l’entendre d’où il était mais il croyait reconnaître l’air. Il avait l’impression que son esprit le tromper et inventer les notes qu’il n’arriver pas à entendre et c’est à cause de cela qu’il n’était pas sur qu’ils pensent au même air. Il essayait du mieux qu’il pouvait de faire taire son cerveau pour mieux entendre le petit ingénue. Oui, c’était bien la même chanson. C’était quelque chose qu’il avait entendue de son vivant, ça il en était sur. Après il n’arriver pas à savoir où il l’avait apprit ou même les paroles exactes. Levant les yeux au plafond il se mit à siffler l’air tout bas et lorsqu’il put enfin le reproduire il siffle plus fortement et redirigea son regard son le jeune homme.

Si il faisait semblant de ne rien donner de son attention il avait tout de même la présence d'esprit de suivre de temps en temps ce que faisait l'hurluberlu mais visiblement même ses trafiques dans la cave n'avait rien d'intéressant. Décidément certains n'avaient vraiment rien pour eux... Il retourna à sa lecture, notant les théories compliquées qui s'étalaient sous ses yeux avec une attention toute particulière, tentant de mémoriser la moindre note de bas de page. Le sujet était complexe et lui résistait depuis un bon moment déjà et même avec ses facilités d'apprentissage il était réduit à suivre scrupuleusement chaque phrase pour suivre les cheminements de pensées de l'auteur. Il préférait amplement passer son temps 'en cave' à lire que d'avoir à supporter les babillages sans intérêt qui pouvaient franchir les lèvres de l'autre. Sans même y réfléchir il s'était mit à fredonner, par habitude, par concentration, étrange ? Pas tant que ça, il avait toujours mieux réussit à intégrer une étude en fredonnant de ci de là des morceaux d'air... ce ne fut qu'après un instant qu'il prit conscience que l'autre... encore une fois... faisait l'intéressant en reproduisant la mélodie. Il leva les yeux au ciel et soupira lourdement, décidément il était vraiment le top du top pour l'irriter... encore qu'il s'agissait plus d'être horripilé que véritablement en colère, il n'était pas prêt de se mettre en colère pour une idiote pareil et même si il se trouvait que par un miracle quelconque il le soit l'autre n'en saurait jamais rien. Il finit par le regarder de nouveau, ses yeux pesant lourdement sur la forme tandis qu'il pinçait les lèvres, une expression réprobatrice naissant sur son visage... et quoi alors ? Il connaissait cet air ? Les trois quart des Etats-unis devaient le connaître après tout, il n'y avait rien là dedans qui vaille une quelconque fierté...
Il passa plusieurs minutes à l'observer avant de fermer brusquement son livre et de le ranger dans son étui. Il retira ensuite ses lunettes et se massa l'arrête du nez avant de remonter sur les tempes, tâchant de stopper le mal de tête qui montait déjà, faisant battre un sourd tambour à ses oreilles. Une fois remit il remit ses verres en place et se massa les poignets lentement, l'un après l'autre, pour stimuler la circulation mais surtout pour sentir le contact froid des chaines... plus il observait le grand dadais et plus il avait envie de l'assommer d'un bon coup de bouclier en pleine face. Il se retint pourtant et haussa un sourcil en lâchant sèchement :
« And pray tell me what you think you are doing ? »

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Le lecteur clairement exaspéré leva les yeux au ciel et soupira profondément. L’akuma réprima un rire. C’était vraiment un jeu enfantin que de l’embêter. Il en était conscient, même très conscient de ce fait. Mais c’était tellement amusant qu’il ne pouvait pas s’en empêcher. Michael y prenait vraiment son pied. Il trouvait toutes ses expressions amusantes et c’était tellement facile de le mettre sur la défensive. Il n’était sûrement pas le premier ni le dernier à lui faire ce genre de coup. Et vu le massage crânien qu’il se faisait, il devait vraiment être exaspéré. Entre temps, pendant qu’il l’observait, il avait perfectionné la reproduction de l’air. La seule chose qu’il l’embêtait c’est qu’il ne souvenait pas des paroles. Rien à faire il ne les retrouvait plus. Peut-être qu’il ne pouvait plus accéder à ce genre de souvenir ou il était trop jeune quand il l’avait appris. Parce que si on réfléchi, son âme était beaucoup plus jeune que celle de l’homme en face de lui. Bah, c’est juste un détail.

« And pray tell me what you think you are doing ? »

Il expira vivement au lieu de rire. C’était l’emploi d’un langage soutenu qui le faisait rire plus qu’autre chose.

- Say, I been a long time since I’ve hear that one. Remenber the words?

De toute évidence cette espèce d'énergumène faisait exprès de venir le titiller, à voir le sourire niait qu'il affichait ça ne pouvait pas être plus clair. Il sentit une vague venimeuse montée dans sa gorge et ses bras furent parcourues d'une décharge électrique, ses muscles se contractant comme si il ne rêvait plus que de lui tordre le cou... et ça n'était pas si faux que ça après tout, la chaine du soleil s'illumina un bref instant, répondant fidèlement aux sentiments de son cœur. Fidèle innocence, le soleil était encore la chaine la moins dure à porter pour lui, la plus en harmonie avec ses émotions malgré son pouvoir peu utile pour lui, elle ne faisait jamais défaut, même dans un moment tel que celui ci c'était elle qui réagissait, il n'aurait même pas eu besoin de se concentrer pour l'activer... mais ça n'était pas du tout une bonne idée, c'était un civil après tout... pas vrai ? Un civil qu'il devait protéger même si l'idée lui donnait envie de se jeter du haut d'un pont. Quel crétin vraiment, n'avait rien de mieux à faire que de venir fourrer son énorme nez dans ses affaires avec la délicatesse d'un éléphant en furie au milieu d'une forêt de pot de cristal... il s'imaginait être drôle en plus ? Avec son petit air d'ahuri transit et son manteau on le repérait à trois cent kilomètres à la ronde, même pas besoin de s'annoncer, pas sérieux pour un sous... ça lui donnait vraiment envie de lui coller des gifles à la pelle, heureusement qu'il avait assez de sel-contrôle ou la cave aurait été repeinte en rouge depuis longtemps. Il devait avouer qu'il tendait un peu le baobab pour se faire battre mais il avait des circonstances atténuantes, en règle général lorsqu'il commençait à agir ainsi ses interlocuteurs comprenaient rapidement le message hors il semblait bien que cette fois ci il doive se montrer un peu plus clair si il voulait obtenir le minimum de tranquillité qu'il recherchait.

Et le voilà qui ouvrait la bouche de nouveau ! Non, ça n'était vraiment pas possible, avec cet air là il fallait qu'il s'attende à l'apothéose, le pic de stupidité, l'himalaya de la bêtise la plus énorme qu'il avait eu l'infortune d'entendre. Pendant un bref instant il cru que l'autre allait se mettre à chanter, il se préparait déjà mentalement à lui clouer le bec, au sens littérale du terme. Ses poignets fourmillaient et il sentait l'énergie monter en lui comme un geyser.... a la première note il l'envoyait ad patres. Mais elle ne vint jamais, pour sa plus grande surprise mais non pas pour son malheur et il fut reconnaissant à ses années de maitrise qui l'empêchèrent d'avoir l'air surpris...

L'andouille blonde... venait... de dire... quelque chose... d'à peu près intelligent...

Où était le piège, la scène montée, le canular... ça ne pouvait être que cela rien d'autre. Et pourtant si, il avait bien entendu les hallucinations n'étaient pas encore son lot quotidien. Croisant les bras il haussa un sourcil en jaugeant de nouveau l'individu puis pinça les lèvres en lui tendant le livre qu'il ne quittait jamais, indiquant la page de droit où les paroles de la chanson étaient inscrites d'une écriture élégante manuscrite. Il s'adossa de nouveau à son tonneau, ne quittant pas l'homme des yeux pendant un moment, pesant le pour et le contre. Il le considérait toujours comme un idiot et ça n'était pas près de changer mais après tout il n'avait tellement rien à faire qu'il pouvait toujours essayer, avec un peu de chance l'homme cesserait ainsi de lui chercher des crosses avec ses jeux de gamin retardé...

« You like this type of songs or are you just trying to make it up so you can talk with me ? »

Il était persuadé que la seconde solution était la bonne bien évidemment mais il voulait voir si le blondinet aurait le cran de le baratiner encore comme il semblait décidé à le faire depuis leur entrée dans la cave. Il se planta devant lui, bras croisé et le dévisagea sévèrement sans être le moins du monde gêné de l'insistance qu'il montrait dans son regard. Qu'il essaye de se payer sa tête à présent et on verrait bien se qui se passerait, qu'il essaye de rattraper le niveau lamentable qu'il avait montré jusque là et peut-être, hypothétiquement, qu'il accepterait de le classer au dessus du gastéropode moyen...

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Il fut un peu étonner de le voir s’avancer vers lui. Il prit le livre qu’il lui tendit.

- Ah, thanks.

Il lut attentivement les paroles. C’était une de ces veilles chansons qui parlait des trains et celle-ci n’était pas particulièrement joyeuse. L’écriture était calligraphiée très finement. Il n’avait plus de doute sur le fait que l’homme venait d’un milieu assez élever. D’où venait sûrement son côté snob. Il apprécier sûrement les choses raffiner. Michael commencer à cerner un peu mieux le personnage qu’il avait à faire. Il n’avait aucun doute qu’il était très cultiver et fin. Ceci ce confirma lorsqu’il vint se mettre devant lui. L’heure étant venu à la finesse. Il lui souri calmement et lui parla sur un ton tout aussi calme :

- Hey don’t give me that look. I won’t denie, this isn’t my type but I can’t help feeling nostalgic, if you see what I mean. It’s been a while since I’ve been home.

Il ne lui mentait pas bien qu’il ne réponde qu’à la moitié de sa question. Il le faisait en toutes conscience de cause. De toutes façon il était sure que cet homme savait pertinemment à quel jeu il jouer. Il ne se faisait pas d’illusion sur cela. Son image humaine avait sûrement du le borner à cette première impression que le reste de la population se contenter de considère. Le masque parfait qui marche toute l’année. Après tout, l’humain est bien une créature des plus fascinant.

Alors il savait lire, c'était une surprise. Pendant un moment que cet âne bâté était aussi illettré qu'il était idiot, en soit il y avait de grande chance que ce fut le cas et pourtant non, bien qu'affublé d'une bêtise aussi criarde que son manteau il avait tout de même reçu des bribes d'éducations. En lui tendant le livre il s'était attendu à le voir se ridiculiser avec brio, il en était quitte pour son pari... Pouvait on dire qu'il était déçu ? Non pas véritablement, juste un peu surpris, rien de bien mortel. L'homme n'avait pas assez d'importance dans son échelle d'estime pour qu'il puisse même concevoir d'être déçu par quoi que ce soit venant de lui... et de même il n'y avait aucune gloire particulière à l'avoir fait médire, il le lui accordait simplement par pur honnêteté, rien d'autre. Il aimait les choses subtiles, raffinées, les choses élégantes et surtout raisonnable, tout ce que cette... chose à l'appartenance douteuse n'était pas, lui et le rouge était deux antipodes incapable de se rejoindre. Le gouffre qui séparait leur existence aurait pu engloutir la terre tout entière.

Il devait cependant admettre, en l'écoutant babiller face à lui, qu'au moins il ne lui faisait pas l'injure de mentir. Il haïssait le mensonge plus qu'autre chose, c'était lâche, c'était dégoutant, nécessaire parfois bien sûr mais profondément sale... Il n'aimait pas devoir mentir quand venait ce moment là. Hors là on ne lui mentait nullement, mieux il venait de se voir confirmer ce qu'il avait suspecter jusque là et de manière appréciable... au vu de l'énergumène il aurait volontiers cru qu'il lui balancerait tout en mettant les deux pieds dans le plat. Aucun commentaire sur son esquive, il haussa à peine un sourcil avant de récupérer son livre des paluches lambda qui risquaient de le déchirer. Il le regarda avant de hausser les épaules et de ranger son bien dans un pli de sa veste.

Le silence s'installait de nouveau quand il se décida...

« If you say so... »

Il ne savait pas quoi dire et à vrais dire il ne voulait absolument pas dire quoi que ce soit mais sachant pertinemment que si il ne disait rien l'autre idiot se chargerait de rompre le silence, hors vu le degrés d'intérêt de ce qu'il débitait il valait mieux que ce soit lui qui s'en occupe. Son regard tomba alors sur le plis du manteau rouge où se nichait la crosse d'une arme à feu. Il fronça les sourcils et posa deux doigts sur l'objet, le faisant basculer vers l'avant pour le mettre en lumière...

« So that's it ? Your job ? »

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Michael le laissa récupérer son livre. Il devait sûrement ne pas lui faire assez confiance pour le garder plus long en main. L’akuma ne protesta point. Vue la réponse retardée du jeune homme, il avait parfaitement comprit l’esquive et donc en quelque sort l’aveu. Il vit alors le jeune homme diriger sa main vers la hanche. C’était là qu’était installée son arme à feu. Sans lâcher son sourire calme, il regarda ses doigts et les laissa s’approcher. Il était confiant et se sentait en contrôle de la situation. Comme si c’était un petit humain qui pouvait lui faire quoi que soit avec. Rien qu’avec son physique humain il était plus fort que l’homme en face de lui. Il mit ses doigts sur la crosse de son revolver.

« So that's it ? Your job ? »

Il repoussa délicatement les doigts de sa main.

- Yeah, I’m a wandering pistolero. And your ?

C’était vraiment la soirée des demi mensonges. Mais bon, il n’allait quand même pas lui dire qu’il était un spécialiste en destruction massive non plus. Pas fou! Enfin, si un peu, vue qu’il se risquait toujours à être si près des humains. Pourtant c’était la seul chose qui l’intéressait, les faire tourner en bourrique.

Il faillit bondir au contact, il.. détestait... qu'on le touche... il détestait qu'on le touche ! Et plus encore sans son accord ! C'était viscéral, depuis son adolescence il ne pouvait pas supporter un contact sauf en de très rares cas. Hors précisément il n'y avait aucune raison pour qu'il apprécie un contact venant de pareil phénomène. Si on voulait être franc il l'avait un peu cherché, après tout il tenait ses doigts à seulement quelques centimètres de lui mais tout de même, il avait assez montrer que l'approcher n'était pas donner à tout le monde... Il s'était tendu comme une corde de pendu dès l'instant où les doigts étaient entrés en contact avec les siens, un goût de cendre envahit sa bouche et il sentit son coeur faire une telle embardée qu'il se cru un moment au bord de l'attaque cardiaque. Une fois de plus il considéra l'utilisation de ses chaines avant de se faire violence, se forçant au calme. Mais c'était un calme relatif, il se sentait menacé à présent, l'autre n'avait pas peur de le toucher, il semblait totalement insensible à une quelconque subtilité et encore davantage à l'intimité des autres. Bien entendu James, dans son dégout, avait totalement laisser dans l'ombre le fait que l'homme s'était montré d'une grande délicatesse dans son geste. Tout ce qu'il voyait c'était qu'il l'avait touché.

Il s'éloigna de quelques pas, réprimant la réaction instinctive qu'il avait de se nettoyer la main et le regarda, pinçant les lèvres. Il se maudissait intérieurement et maudissait encore davantage cet homme qui n'avait décidément rien pour cohabiter avec lui. Il aurait dû rester dans son coin et le laisser gesticuler et parler seul, ça aurait été une bien meilleur idée. Dommage. Et en plus la réponse laissait à désirer, un pistolero vraiment ? Alors que faisait il dans un tel lieu hein ? Enfin bon, vu où il en était on ne pouvait pas dire qu'il en avait quoi que ce soit à faire...

De nouveau il se sentit tirailler, ses poignets le picotant. Non mais décidément l'intégralité du monde avait décidé de l'irrité en cette journée, qu'est ce qui lui prenait à ce truc de chercher à s'activer comme ça ? Il n'y avait que lui et l'autre andouille dans cette cave, et précisément le rouge était bien trop... humainement stupide, pour être un akuma. Il devait s'agir d'autre chose, probablement d'une entrée en haut dans la ville...

Il écouta les bruits provenant du bar et nota que la bagarre semblait s'être calmée. Il se retourna et mis les mains dans les poches...

« A traveler who have no time for nonsense. I'm going now i think... »

Invité

Il était clair que l’homme n’avait pas du tout aimé sa réaction. Il était devenu raide d’un coup, pinçant à nouveaux ses lèvres et reculant. Ce n’était pas un peu extrême tous ça ? Réagissait-il toujours comme cela avec tout le monde ? Ou avait-il ressenti sa véritable nature ? Peut-être pas vue qu’il ne fit pas d’autre commentaire et ne paressait pas étonner ou terrifier. Dans tous les cas la réponse à sa question fut à la fois vague et menassente. Il ne lui révélait rien et mettait fini à toute interrogation sur ce sujet. Au moins ça les mettait sur un pied d’égalité, bien que l’humain l’ignorait. De plus il voulait quitter les lieux. L’akuma releva quelque peu la tête et prêta l’oreille. En effet le combat en haut semblait avoir prit fini. Il souri alors joyeusement à son « colocataire de cave ».

- Oh ! Right ! Sure thing ! But say, I din’t catch your name.

Lui adressant un sourire béant il lui tendit un main amical

- I’m Michael Reeves. And your...?

Oui définitivement le combat des ivrognes de l'étage supérieur était terminé, voilà qui était une bonne nouvelle pour lui, il allait pouvoir sortir de là sans problème. L'idée de retrouver le ciel bleu et un lieu silencieux et loin de toute atteinte lui apparaissait comme le paradis sur terre, comme une bulle de bien être dans ce monde qui semblait ligué contre lui dès l'instant où il s'était fait bousculé par son vis à vis présent. Oui l'idée de fuir, car oui c'était bien une fuite mais il s'en contre fichait, loin de cette boule de défauts lui était la plus douce qui soit en cet instant... tout ce qu'il voulait c'était partir loin de cet être qui le mettait hors de lui, trouver la personne pour laquelle il était venu et en finir une bonne fois pour toute avec ces idioties. Repartir ensuite vers le nord de l'Europe, oublier l'épisode et repartir à la chasse à l'homme et tant pis si il ratait l'un des événements les plus féérique du monde. De plus il avait beau ne pas y faire trop attention les picotements que propageait l'innocence dans ses bras commençaient à le rendre plus que soupçonneux... une telle insistance n'avait rien à voir avec son humeur, il y avait forcément un akuma dans le coin et prêt de lui avec ça. La ville allait elle être attaquée ? Voilà qui conclurait la série de malchance qui le frappait. Non il ne pouvait pas laisser faire cela, pas tant qu'il était ici, si akuma il y avait alors il devait le retrouver et le mettre hors d'état de nuire le plus rapidement possible... et pour commencer...
Il s'arrêta net dans ses pensées en foudroyant cette fois franchement le rouge des yeux, son visage perdant sa neutralité pour révéler un masque de la fureur la plus noire. Il ne serra pas sa main, au contraire il lui donna une tape, la renvoyant contre lui et tournant les talons avant de cracher, venimeux.

« James »

Il sortit de la cave au pas de charge et disparu dans la foule au dehors....

[HRP : Et voila qui est terminé, onward to the futur ! ^^ ]

» Le dernier carnaval de Venise? [Libre]
» James Alexander [Terminé]
» Londres [Diane pv James Alexander]
» Il court, il court le furet... le furet du bois jolie... [PV James]

Before I paint Venise in red [PV: James]

Before I paint Venise in red [PV: James]

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