Université ?

Lorsque que l'imposant ferry à vapeur arriva sur les quais, Diane fut une des premières à descendre.
Elle détestait toutes ces machines à vapeur, soi-disant grande découverte du siècle. La découverte est surtout celle du charbon d'ailleurs, qui permet d'obtenir un feu régulier, avec peu de rejets, ce qui évite de boucher les cheminées. Un feu, source de chaleur, qui fait chauffer de l'eau, celle-ci devient vapeur, créant de la pression qui entraîne un piston… On fait toute une histoire de ces machines, mais ce n'est quand même pas sorcier, et puis ça noircit tout, ça sent mauvais, ça secoue … Non, vraiment, Diane détestait ces fichus machine à vapeur. Certes sans elles Diane ne pourrais pas être ici. En même temps, l'Amérique ne la réjouissait guère. Elle aimait Shangaï et son université…

Enfin il est évident que l'Ordre à besoin de personnel et Diane était, somme toute, très honoré de s'être vu confié cette mission. Une mission en solo, ce prouvait qu'on l'estimait capable. Certes, la mission n'était pas être trop compliqué non plus. Se rendre dans différentes université, chercher des étudiants prometteur qui aimait Dieu… On l'avait envoyé elle du fait de sa jeunesse. Le Saint Ordre pensait qu'il lui serait plus facile de se rapprocher des étudiants. Mais Diane n'avait jamais été très sociable …

Enfin bon, peut être qu'ici les choses se passeraient différemment. De toute façon, la priorité de Diane était, pour l'instant, de trouver un hôtel accueillant et de se débarrasser de la suie qui la couvrait, ainsi que tout les autres passagers, sans parler des membres de l'équipages, de la tête au pied. Elle s'engagea donc dans la rue qui remontait le port, longeant d'abord les vieilles bicoque des pêcheurs, puis peu à peu des maison de pierre et de ce qui semblait être de la pierre liquide qui aurait été solidifiée, elle apprendrait par la suite que cela s'appelle béton. Pour l'heure, elle était très impressionnée par les bâtiments qu'elle découvrait, dans ce matériaux inconnu, et certains allant même jusqu'à quatre étages ! Enfin elle trouva ce qu'elle cherchait, un bâtiment d'allure simple mais assez vaste et propre don l'enseigne indiquait :
" WONDERLAND Chambres propres équipées de l'eau courante ! Prix très raisonnable !"
Cela semblait convenir parfaitement aux attentes de Diane et elle entra dans le hall d'accueil. De taille modeste mais propre et joliment décoré, un tapis vert émeraude, des tapisseries bleus pâles aux délicats motifs floraux, éclairé par de jolies appliques en bois, lui fit un très bon effet. Elle s'approcha du guichet, qui semblait chêne, et tira la sonnette. Un léger tintement retentit, et un grand homme, un peu moins que la trentaine, des cheveux châtain retenu par un ruban apparu. Il portait ce qui devait être l'uniforme de l'établissement, un complet trois pièce vert émeraude sur une chemise blanche, très seyant et du meilleur effet.

"Que désirez-vous mademoiselle ?
-Hum… je voudrais une chambres, pour disons… une semaine.
-Très bien. Alors voyons … il me reste la 12, la 139 et la 145.
-Je prendrait la 12 s'il vous plaît, ainsi j'aurais moins d'escalier à monter.
-La 12, trés bien. Prendrez vous le petit déjeuner dans le salon ou préférez vous qu'il vous soit apporter dans votre chambre ?
-Dans ma chambre s'il vous plaît, 7h17. Je prendrais seulement le repas du soi ici.
-Trés bien. Suivez moi je vous pris, je vais vous guidez à votre chambre, et laissez moi porter vos bagages."

Diane confia sa petite valise de cuir au jeune homme et le suivit au fond d'un couloir. Il ouvrit la porte sur laquelle un 12 était délicatement inscrit, déposa sa valise au pied du lit, et s'en retourna. La chambre était sobre, un tapis crème avec une tapisserie pourpre. UN vaste lit aux draps blanc. A droite, une porte de bois, sans doute la salle de bain. Juste à côté un placard. Et à gauche une immense fenêtre, qui aux yeux de Diane apparut comme un prodige d'architecture, qui offrait une vue magnifique sur le port. Heureuse de pouvoir enfin se délassée, Diane se précipita à la salle de bain et se fit coulé un bon bain chaud.

Noah Messages : 31 Date d'inscription : 24/04/2011

Nymphadora Cunégonde Thunder-ten-Tronckh, penché au hublot du dirigeable, regardait Boston se rapprocher petit à petit. Elle voyait les train qui au loin dégageait d'immense panache de fumée, tels des nuées de sauterelles qui déranger par un feu de brousaille s'éléverait sous l'ardent soleil d'une belle matinée d'été. Et, un peu plus proche, les énormes ferry, baleine chtonienne, qu'Hadés aurait envoyé à la surface du monde craché des nuages de cendres et de desespoir. En tout cas, ce qui est sûr, c'est que même du cile, les gens qui descendait de ces navires étaient noirs de suie. Nymphadora en aurait presque aimer ce brave dirigeable, si ce n'est que le manque d'oxygène, les secousses du vent et le service absolument minable l'indisposait.

De toute façon, quoiqu'il advienne, Nymphadora était était renfrognée, et pour cause ! Le Comte avait décidé de l'envoyer étudier à Boston. Qu'elle étudie elle, évidement, pas que d'autre l'étudie. En tout cas l'idée de se mélanger avec tout ces adolescent puber dégoutait Nymphadora. Et puis elle n'avait absolument pas besoin d'étudier. Elle était déjà très cultivée grâce à son cher maitre Pangloss. S'il fallait, parmis les philosophes et hommes de sciences, cité le plus magnanime, le plus spirituel, le plus pertinent, le brillant, et bien s'était lui ! Mais l'envoyer étudier était encore une des lubies fantasques du Comte. Nymphadora l'aimait bien, mais il ne fallait peut être pas éxagérer !

Enfin bon, quoi qu'elle en pense elle était dans ce dirigeable, qui n'allait d'ailleurs pas tarder à amarré. Nymphadora constata alors que la distance à parcourir du champ d'atterrissage à la ville et donc aux hôtels, oui, Nymphadora avait cathégoriquement refuser le pensionnat, en effet qui a t-il de plus sale qu'être mêlée a tout ces adolescent dont les hormones faisait émaner des odeurs répugnantes ? Bref, la distance à parcourir du champ d'atterrissage aux hôtels était bien trop longue. Comble du malheur ! Il allait donc lui falloir enprunté un fiacre, avec de surplus, sans doute d'autre passagers. C'était immonde, répugnant. Nymphadora n'avait jamais été aussi près de détester le Comte.

Une grande secousse fit glisser verres et carafe de la table. Heureusement que pas une seule goutte du liquide qu'elle contenait n'eut asperger sa robe. Sinon cette compagnie de transports aériens aurait trés certainement été rayée de la carte.

Cette violente et idnamissible secousse était en fait dû à l'atterrissage. Immediatement, l'Akuma de niveau 1 qui accompagnait Nymphadora surgit d'on ne sais où (sûrement des soutes dans lesquelles il était enfermé en fait), et vint prendre les bagages de la demoiselle avant que les stewards n'eussent le temps de réagir. Suivant la longue file (au moins 8 personnes) malodorantes des passagers, Nymphadoravdescendit du dirigeabl et put de nouveau respirer l'air pur. Ou plutôt l'air intoxiqué par toute les rémanensces des machines à vapeur, le sel de la mer, sans compter et urines et autre provenant de la ville. Nymphadora demanda à son akuma, un type banale au possible, cheveux courts, ternes, qui devait avoir environ 17ans lorsqu'il fit appelle au Comte, et dont elle avait oublié le nom, de lui trouver un fiacre personel. Il était absolument impossible qu'elle voyage a moins de 50cm d'une autre personne.

Le trajet en fiacre fut court mais cahotique, le chemin était plein de trous et de bosses et le fichu canasson n'en faisait qu'à sa tête. Enfin ils arrivèrent en ville. Nymphadora se serait bien diriger illico presto vers un hôtel luxueux, genre 600m2, 3 étages, avec Jacuzzi et salle de cinéma, mais le Comte lui avait octroyer une bien trop modique somme et elle allit devoir se contenter d'un hôtel banale. Elle espérait qu'il y aurait au moins une femme (ou un homme) de ménage. Aprés quelques minutes de marche dans les rue, Nymphadora fini par parvenir à un établissement qui lui semblait à peu près correct, WONDERLAND chambres propres équipées de l'eau courante ! Prix trés raisonnable ! annonçait l'enseigne. Lasse, et résolu à ne trouver rien à son goût avec les moyens octroyer par le Comte, la jeune fille, suivie de son Akuma, entrèrent dans l'hôtel.

L'endroit n'était pas trop miteux et semblait propre. Un jeune homme vétu de vert arriva alors. Il stoppa net au milieu de la pièce. Sans doute que l'enfant à l'air hautain l'avait surpris. Mais c'était plus vraisemblablement son servant, qui était en fait quasiment invisible sous la pyramide de malle qu'il transportait, sans compter qu'une d'entre elle, percée, s'agitait. Aprés avoir gober une mouche, il se repris et contourna le comptoir pour se placer face aux clients potentiels.

"Bonjour ! Souhaitez-vous une chambre … il hésita quelque instants, ne sachant s'il devait s'adresser à l'homme où à la fille … Mademoiselle ? dis t-il d'un ton (en)joué.
-Une chambre. La plus confortable de l'établissement. Et pour lui, Nymphadora montrait l'Akuma du pouce, le grenier, la cave ou les écuries, où vous avez de la place.
-heu … très bien, acquiesça le groom. Il tendit la clef, Nymphadora s'en empara et tourna les talons, se dirigeant rapidement vers sa chambre, son akuma porte-bagage la suivant toujours. Dès que celui-ci apres avoir déposé ses bagaes eut vidé les lieu, Nymphadora ouvrit la malle ou était enfermé son pauvre Escarpin. Elle aurait aimer le laisser en liberté pendant le voyage, mais un singe violet ce n'était pas courant et elle craignait qu'on eût tenté de le kidnappé.

La chambre n'était finalement pas si vilaine, Nymphadora et Escarpin ne tardèrent pas à s'endormir sur le grand lit.

Exorciste Messages : 619 Date d'inscription : 04/04/2011

Boston. L'une des plus grande manufacture du pays, avec son port qui lui permettais des échanges commerciaux avec le monde. Oui, Boston. Dans la plupart des cas, les gens venant dans cette grande ville avait une bonne raison. Que ce soit pour le commerce ou les études. Une bonne raison. Mais il faut croire que ce n'étais pas le cas de tous le monde.

Aleyna étais censé arriver la veille. D'après Komui, arriver en train à Boston était une bien meilleur idée que de prendre le ferry jusque la. Elle aurait dut se douter que les bonnes idée de Komui ne l'était que pour lui et elle avait pesté tout le long du voyage contre le scientifique qui n'y pouvait rien, pour une fois. C'est donc d'une humeur détestable qu'elle descendit rapidement du grand train à vapeur, une simple valise en main et son golem sur l'épaule. Elle avait caché son uniforme d'exorciste sous un manteau, n'ayant pas envie de se faire remarquer.

A peine dehors, elle se sentis tout de suite mieux, bien que le confort du train soit plutôt bon, elle n'aimait pas restée assise trop longtemps et l'air frais lui fit du bien. Même si celui-ci était emplis d'odeurs peu alléchante. Elle se dirigea d'un pas rapide vers le centre-ville pressée de pouvoir trouver un endroit ou se poser avant d'entamer ses recherches. C'est avec soulagement et après une petite demi-heure de marche qu'elle trouva ce qu'elle chercher: « WONDERLAND chambres propres équipées de l'eau courante ! Prix très raisonnable ! » Elle entra et se présenta à l'accueil ou un jeune homme était installé, attendant ses clients.

« -Bonjour! Vous souhaitez une chambre? Demanda -t-il avec le sourire.
-Évidemment, sinon je en serais pas la. Répondit sèchement Aleyna qui n'étais absolument pas d'humeur.
L'homme hésita, déstabilisé par le ton de son interlocutrice.
-Euh... il nous en reste une, voici la clef. »
Il la lui tendit, elle la pris avant de se diriger seule vers l'endroit ou elle se trouvait sous le regard étonné du maître d'hôtel qui se demandait si c'était carnaval aujourd'hui, vue les clients qu'il recevait.

La chambre n'étais pas très grande et le plafond étais bas.Les meubles en bois ternes faisaient un peu rustique mais elle s'en ficher, temps qu'un lit en bonne état se trouvait dans la pièce, cela lui suffisait.Le tout étais assez élcairé par deux fenêtres deonnant sur le port, celui ci encore bien actif à cette heure de la journée.

Enfin seule, Aleyna s'effondra sur son lit en soupirant. Le voyage l'avait épuisée et elle s'en voulait un peu d'avoir été si froide avec le pauvre homme de la réception. Elle se dit qu'elle irai peut être lui faire des excuses le lendemain matin. Pour le moment, elle étais trop fatiguée. Ses paupières se fermèrent sur ses yeux vairons et elle s'endormit.

Lorsque l'horloge du hall indiqua 7h17, Diane était déjà levée, lavée, échauffée et habillée. Elle attendait donc patiemment son petit déjeuner, tout en essayant de se représenter ce que serait sa première journée. Parce que, pour connaître les gens, il fallait s'en approcher un minimum, ce qui n'avait absolument rien d'atrayant. Parce que dan stout les cas, si elle souhaitait passée inaperçut, premièrement, elle devrait enfilé des habit beaucoup plus ridicule, comme ceux que portait ces jeunes américains, et elle devrait se faire passer pour une élève. Cela allait-il l'obliger à suivre les cours ? Dans l'absolu, non, elle pourrait se contenter de rencontrer les gens pendant les poses, mais dans ce cas là, il lui faudrait beaucoup plus de temps pour accomplir sa mission. En même temps, suivre les cours l'obligerait forcément à ne faire qu'une seule et même université par jours … Pas terrible.

Le déjeuner arriva alors, porter par une toute jeune femme de chambre. Une demi baguette de pain, un café et un morceau de beurre, c'était sobre, mais plutôt nourrissant.

Aprés avoir rapidement avaler le tout, Diane jeta un dernier coup d'oeil dans le miroir, puis sortit de la chambre.
Des clients était là, déjeunant, confortablement assis dans des fauteuils, d'autres discutant avec animation. Certains attendais tout simplement un fiacre ou d'autre gens. Il y avait notamment une jeune fille et un jeune hommes qui attirèrent immédiatement l'attention de Diane. Pas seulement parce que la jeune fille portait une somptueuse robe de dentelle, pas seulement parce que le jeune homme sembalit plus être son chien que son ami, pas seulement parce qu'ils étaient accompagné d'un singe violet, mais surtout parce que le jeune homme faisait naître un sentiments de profonds dégout en Diane. Instinctivement elle porta la main sur sa rapière. Un Akuma … C'était donc ça. Et la jeune fille qu'il accompagnait … Si c'était réellement une Noah, sa présence ici était vraiment surprenante. En les observants un peu plsu attentivement, Diane s'aperçut que l'Akuma portait deux traditionnel sacs d'étudaints. Si le jeune fille s'apprêtait à intêgrer une université Bostonienne, alors elle pourrait sûrement être un premier contact intérressant.
Diane s'approcha donc d'elle.

Noah Messages : 31 Date d'inscription : 24/04/2011

Les couinement lointain d'un animal affamé tirèrent Nymphadora Cunégonde Thunder-ten-Tronckh du sommeil. Elle était étendu sur un grand lit fort simple, et les premiers rayon du soleil sur sa joue l'agacèrent prodigieusement. Elle se tourna donc. Elle fermait de nouveau les paupières lorsque les couinements reprirent. Résignée, elle se redressa sur ses coussins et jeta un coup d'oeil circulaire autour d'elle. Devant la porte, un singe violet couinait et grattait le montant de bois, affamé qu'il était le pauvre petit. Comment se faisait-t-il au son de ce cri de désespoir l'Akuma n'ai pas encore accourut ? Nymphadora réfléchit quelques instants … Ah bah oui, il dormait dans le garage. Malgré ne ouie perçante, il n'avait absolument aucune chance de les entendre. Oui, c'est bien lui qui n'avait pas de chance, puisque ce désagréable problème mettait Nymphadora de fort mauvaise humeur et qu'elle n'hésiterais certainement pas à déchainer son ire sur l'Akuma. Elle attendit encore quelques instants qu'il arrive. On frappa à la porte. Si c'était lui, il avait beaucoup de chance. Elle fut très déçut d'entendre la voix de l'autre débile de l'hôtel (non, il n'est absolument pas plus stupide qu'un autre, mais elle est de fort mauvaise humeur).

"Puis-je entrer Mademoiselle ? .… votre petit déjeuner …"
Comme si elle allait laissé entrer le premier abrutis qui passait …
"Laisser ça devant la porte, et aller plutôt chercher mon valet (entendez par là "chien") !"
"Ah… heu… très bien …"

Lorsque le silence fut revenu de l'autre côté de la porte, elle décida finalement de se lever. Lentement, elle posa les pieds l'un après l'autre sur le sol … GELE ! Nymphadora avait oublier qu'ici, contrairement au manoire du Comte, il n'y avait pas le chauffage par le sol. Elle s'empressa donc bien vite de réchauffer ses pied, et n'hésita pas une seconde à utiliser la somptueuse robe de dentelle qu'elle portait la veille comme un tapis. Toujours sur sa robe, elle se dirigea lentement (bah oui, c'est galère d'avancer sur une robe hein !) vers ses malle. Elle en ouvrit une première, la fouilla quelques instants, puis la poussa sur le côté, fit de même avec la seconde … ainsi de suite jusqu'à la 6eme, ou elle dénicha enfin la tenue qu'elle souhaitait porter aujourd'hui.

Donc toujours sur sa robe-devenue-tapis elle se rendit dans la salle de bain. Bon bin là elle se douche et s'habille et tout et voilà. Lorsqu'elle sortit de la salle de bain, chaussée, laissant sur le sol derrière elle la robe-devenue-tapis, l'Akuma était là, faisant cuire des oeufs frais et du bacon sur un petit réchaud. Il avait bien retenue la leçon. Dans un coin de la pièce Nymphadora aperçut le petit déjeuner minable de l'hôtel abandonné-là. Elle vint s'asseoir auprès d'Escarpin qui dévorait joyeusement une grande corbeille de multiple fruit exotique aux couleurs crillardes. Bientôt, l'Akmua lui apporta sur un plateau d'or,le très simple (on fait avec les moyens du bord) petit-déjeuné qu'il venait de préparé, une assiette d'oeufs et de bacon, des toasts grillés couvert d'une délicieuse marmelade; un vert d'orange pressée et un de mangue, ainsi q'un bol de chocolat chaud, fortement cacaoté. Nymphadora ordonna donc à l'Akuma d'aller récupérer la robe-devebue-tapis et de la laver, voir repriser. Et c'est lorsqu'on voit l'état de la robe, de rose pastel devenue gris poussière, que l'on comprend que l'hôtel n'est pas si propre que ça en fait.

Après avoir terminé de déjeuner, de s'être soigneusement brossé les dents et lavé les mains, après avoir de demander à l'Akuma de poser de multiples pièges tout autour des valises et de prendre les sacs scolaires, Nymphadora, Escarpin dans les bras l'Akuma (faudrait p't'être qu'elle se décide à lui demander son nom) sur les talons, elle descendit dans le hall afin d'attendre le fiacre qu'elle avait commandé.

C'est alors qu'une jeun femme, la vingtaine environ, un peu moins entra dans la pièce. Elle portait au côté une rapière, chose assez intrigante, et Nymphadora décida de l'observer du coin de l'oeil. Après avoir jeter un bref coup d'oeil autour d'elle, la jeune femme se dirigea droit sur Nymphadora et son Akuma. Aie, la journée commençait mal. Nymphadora n'avait aucune envie de discuter avec des humains, et encore moins de bon matin.

Exorciste Messages : 619 Date d'inscription : 04/04/2011

Aleyna se réveilla avec un peu de mal, et le corps ankylosée par sa nuit de sommeil prise a l'arrache. Elle soupira en constatant que, la veille, elle s'était endormis toute habillée. Elle décida, en se contemplant dans l'unique miroir de la pièce, de prendre une douche. Peut être qu'elle ressemblerait moins a un zombie après celle ci.

L'eau était plus froide que chaude mais elle s'en contenta. Elle n'était pas dans un 5 étoiles, il fallait pas trop rêver. Ça lui fit un bien fou, elle se réveilla enfin complètement et se remémora la journée de la veille. Une matinée horrible en bateau, (précisons que Lena a le mal de mer...) et une après midi ennuyeuse en train. C'était pas terrible. En plus, avec tout ca, il fallait encore qu'elle récupère un truc qui ne la concernée en rien, pour le compte de Komui.

Récupérer, un bien grand mots, d'après elle. En réalité ce « truc » se trouvait dans une université de Boston dont elle en se rappelait déjà plus du nom. En gros, elle devait le voler. Bien sur, elle avait protesté, en disant que ce n'était pas son boulot, mais celui des trouveurs, mais il semblerait que l'objet en question soit convoité par le Comte Millénaire. Et qui dit Comte Millénaire, dit Akuma et même peut être Noah.

Oh, joie!
Pourquoi c'était encore tombé sur elle?

Après cette bonne douche, qui la réveilla très bien, mais qui la mit de sacré mauvaise humeur. Logique, après avoir repensé a sa « mission ». Elle se rhabilla correctement et sortis pour prendre son déjeuner. Elle avait laissé ses affaires officiels ainsi que son golem de la congrégation dans sa chambre. Elle n'arborait donc qu'une simple tenue de ville. T-shirt à manches longues et pantacourt, l'ensemble dans les tons gris et mauves.

Alors qu'elle s'installée a une table pour prendre son petit déjeuner, deux personnes attirèrent son regard. La première a cause de sa chevelure rousse, qui lui rappela Margot, la petite belge de la congrégation, ainsi que par sa rapière. Quand a la deuxième, par ses habits plutôt extravagant et qui semblait couter bien cher, mais aussi et surtout par le singe violet qu'elle tenait dans ses bras.

C'était légèrement douteux, elle s'autorisa donc le droit de les observer le plus discrètement possible.

"Bonjour mademoiselle", dis-t-elle en s'adressant à la jeune fille.

Pas de réponse. La jeune fille se contenta de la regardé avec un oeil noir.

Cette prise de contact n'était pas très réussit. Diane n'aimait pas tellement parler aux gens, et cette jeune fille ne se montrait pas du tut, mais alors pas du tout engageante. Diane faillit se détourner et partir, mais elle se retint. Elle avait une mission après tout, même si celle-ci exigeait un sacrifice de soit (tout de suite les grands mots !), et elle se décida donc à continuer.

"Vous semblez, avec votre ami, être des étudiants …"

Au mot ami, la jeune fille avait tiqué, tandis que l'Akuma, lui regardait toujours dans le vague. Il semblait donc qu'elle ai vu juste … une noah …

"Et comme j'ai moi-même l'intention d'entrée dans une université, je me disais que nous pourrions sans doute …"

La Noah faisait mine de ne pas l'entendre. Tout cela commençait profondément à agacer Diane, et au point ou elle en était, autant continuer à se ridiculiser auprès de cette jeune personne effroyablement arrogante …

"Il est très mignon votre petit singe, il …"

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase qu'elle fut prise d'une frayeur épouvantable, indescriptible, horrible, insuportable, ses jambes se dérobait sous-elle, elle voulait fuir, fuir très loin d'ici, à l'autre bout du monde, se cacher, mourir ! Et dans un effort monumentale, elle sortit sa rapière.

"Alors ma belle, on a besoin de moi,dit celle-ci avec un petit ricanement.
Mais enfin de quoi as-tu peur ?
Alors, c'est sa la guerrière farouche sûre d'elle invincible, sans peur et sans reproche ?
Tandis que Diane sentait une sueure froide s'insinuer en elle, ses muscles tremblé, et son coeur battre la chamade, la rapière, elle, semblait bien sa'amusé.
Espèce d'idiote ! Ce sont des illusions ! T'as déjà oublié que tu t'adresses à une Noah ou quoi ? Vraiment, pas d'cerveau … Dire que c'est moi, un pauvre bout de métal qui doit te dire ça …

Une illusion ? Une Noah ? Diane sentit le un voile de brume se déchirer dans son cerveau. Une illusion.

Avec toute la concentration dont elle était capable, elle refoula quelque peu son angoisse, rangea sa rapière dans son fourreau, tout en gardant la main sur le pommeau, et se détourna. Plus elle s'éloignait et plus la peur diminuait. Lorsque de nouveau elle se sentit elle-même, elle regarda autour d'elle. Tout le monde la regardait avec étonnement et méfiance. Et elle se sentit tellement ridicule … Malgrè le pacte de non-agression, ne jamais faire confiance aux Noahs, telle fut la morale qu'elle tira de cette mésaventure.

Alors que les regards s'étaient détourné, elle remarqua qu'une jeune fille aux cheveux roses continuait de la regarder. Elle ne l'avait pas encore remarqué, pourtant des cheveux rose, ce n'était pas vraiment discret … Diane lui rendit donc son regard sans autant bouger. Discuter avec les gens, s'en était fini pour aujourd'hui, elle avait eu sa dose. Et il n'était que 7h42.

Noah Messages : 31 Date d'inscription : 24/04/2011

Comme on pouvait s'y attendre, la jeune femme entama la conversation.

"Bonjour Mademoiselle"

Super originale. C'était mal barré. Nymphadora Cunégonde Thunder-ten-tronckh se demandait comment éviter d'avoir à répondre. Elle n'avait aucun envie d'utiliser le moindre de ses muscles pour cette personne. Pour l'instant la solution la plus simple était donc de l'ignorer.

"Vous semblez, avec votre ami, être des étudiants…"

Nymphadora faillit sursauté et se retint de justesse. L'Akuma, son ami ? Déjà Nymphadora n'avait pas d'amis, même parmis les Noah, avec qui elle s'entendait toutefois fort bien, alors, elle être amie avec un Akuma ! La blague ! Il fallait être absolument myope et stupide pour penser rien qu'un instant qu'elle puisse être ami avec un Akuma, qui n'était à ses yeux rien de plus qu'un esclave, mais un esclave sans valeur, quelque chose s'approchant d'un paillasson …

"Et comme j'ai moi-même l'intention d'entrer dans une université, je me disais que nous pourrions sans doute …"

Voilà qu'elle lui racontait sa vie. Nymphadora en avait parfaitement rien à faire, et tout cela commençait fort à l'agacer. Et elle ne savait pas ce que la jeune femme souhaitait dire, mais il est évident que dèjà le "nous" ne pouvait pas exister. Il était parfaitement absurde et prétentieux de croire que n'impirte qui peut se permettre d'employer le pronom "nous" en parlant de Nymphadora Cunégonde Thunder-ten-tronckh, Noah de l' épouvante !

"Il est très mignon votre petit singe, il …"

Escarpin ! Cette imbécile outrecuidante osait se permettre de parler d'Escarpin !
Il fût parfaitement impossible, et c'est bien compréhensible, n'est ce pas, à Nymphadora de se retenir. Sans hésiter un instant, elle usa de son pouvoir, faisant naître la terreur dans le coeur et l'esprit de l'inconnue. Elle la sentit fléchir, puis soudain, elle sentit une nouvelle force apparaître, une innocence … La jeune femme était donc une exorciste … Nymphadora eu trés, trés envie de la tuer, mais elle se rappela que celle-ci ne portait pas l'uniforme de la Congrégation de l'Ombre, et si jamais il se trouvait par malheur que ce soit une Alkyste, elle enfreindrait le pacte, ce qui ne pourrait apporté que des problêmes. Elle laissa donc la jeune femme s'éloigner, tout en s'amusant beaucoup de la voir, rapière à a main, ridiculisée.

Jetant un coup d'oeil glacial autour d'elle pour décourager les curieux de la fixer, elle remarqua une jeune fille à l'etonnante chevelure rose, qui avait un regard différents des autres, elle n'aurait su dire pourquoi …

Exorciste Messages : 619 Date d'inscription : 04/04/2011

Aleyna observa les deux femmes en silence, penchant légèrement la tête sur le coté, étonnée. Elle n'avait pas entendu ce que la rousse disait, mais cela ne semblait pas très important, car la fille au singe violet semblait se désintéressait totalement des propos de la première.

Alors qu'elle renvoyait un serveur impatient qui voulait savoir ce qu'elle prendrait pour son déjeuner, elle vit du coin de l'œil la rousse reculer avec une expression d'effrois sur le visage. Avait-elle raté quelque chose? Pourtant l'autre jeune fille n'avait pas bougé.
Son esprit s'éclaira soudainement. Une fille avec un rapière, ce n'était pas commun. Soit. Mais une adolescente qui arrivait a effrayer quelqu'un rien qu'en le regardant, c'était encore moins plausible. Ça sentait le Noah a plein nez. Mais cela semblait étrange que son innocence n'ait pas réagis...

Elle croisa le regard de la jeune aristocrate à ce moment la. Un regard assez indéchiffrable, mais qui semblait pourtant innocent, qu'Aleyna soutint du mieux qu'elle put. Elle n'avait pas envie de se laisser faire. Surtout que là, elle venait de se faire repérer, autant par la présumée Noah que par l'escrimeuse rousse.

Il faudrait qu'elle vérifie dans un des livres du vieux Bookman si elle ne subissait pas une forme ancestrale de malédiction. Ou alors qu'elle avait simplement un don pour attirer les trucs chiants.

Une réaction a son bras la fit sortir de ses pensées. Son innocence se réveillée enfin. Cette fille était donc bien une Noah. Mais alors qui était la rousse à l'étrange rapière qui semblait également posséder quelques pouvoirs surnaturels?
Le Saint Ordre des Alkystes? A l'inverse de la Noah, Aleyna ni pensa même pas. En fait, ce n'était que le cadet de ses soucis pour le moment. C'était une exorciste, et il y avait une Noah.

« Mais qu'est-ce que je fou la... » Pensa-t-elle en soupirant.

Elle se leva pour voir la réaction des deux femmes, ce qui ne tarda pas.

Diane ne savait plus vraiment quoi faire. Elle était paumée. Elle continuer et regagner sa chambre, et ne pas en ressortir de la journée. Mais ce serait une journée de perdue. Et une nuit d'hôtel payé dans le vide. Elle pouvait aussi rester planté là comme une bouffonne à fixer la fille aux cheveux, ce qui n'avait strictement aucun intêret. Elle pouvait aussi sortir … Mais cela supposait passer devant la noah-qui-fait-peur. OU alors combiner deux solutions, attendre planter là comme une bouffonne que la noah-qui-fait-peur parte, puis sortir. Ce qui impliquait quand même de passer pour une bouffonne.

Ou sinon, sinon, elle pouvait revenir sur sa décision de ne parler à personne, et aller discuter avec la fille aux cheveux roses, en espérant qu'elle soit plus sympa. Mais cela supposait revenir sur sa décision. Et prendre un nouveau risque.

"Un risque ? T'appelle ça un risque ? Mais t'es complétement ramollie ma pauvre ! Un risque c'est quand y'a des ennemis, quand y'a un combat, quand y'a du sang, des cris ! Un risque c'est quand tu sens cette montée d'adrénaline, cette volonté de violence, cette envie de sang ! Un risque c'est quand t'es sûre de perdre, mais que tu te jette quand même dans la bataille !
C'est pas parler à une gamine aux cheveux roses ! Nan, mais sérieux, même si cette gamine est une exorciste, elle n'est pas plus dangereuse pour toi qu'une feuille de salade pour la grande muraille de Chine ! Cette fille face à toi, c'est comme une goutte d'eau face au désert !"

"P*tain ! Mais c'est une exorciste ?! Tu pouvais pas l'dire avant ?!"

"Bah c'est évident non … t'es bigleuse ou quoi ?"

"Mais sérieux, tu viens d'me comparer à La grande muraille de Chine, et au désert ?"

"Heu ouaip …"

"Mais c'est chelou comme comparaison…"

"Bon t'arrête de tergiverser, ou on attend jusqu'à la Saint Glinglin ?"

"Oh non mais là tergiverser j'avais oublié aussi, mais Saint Glinglin j'ai jamais connu j'crois."

"Ouais, bon, go ?!!"

Diane lâcha la poignée de sa rapière, et résignée, se tourna vers la jeune fille aux cheveux roses. Elle s'avança d'un pas décider et s'assis à sa table.

"Salut !"

Lâcha-t-elle sans vraiment d'enthousiasme.

Noah Messages : 31 Date d'inscription : 24/04/2011

Elle continua de se fixer la jeune fille aux cheveux roses, sans s'en cacher. Tout en gardant dans la limite de son champ de vision la rousse. Cette fille au cheveux roses … Nymphadora Cunégonde Thunder-ten-tronckh sentit une force se réveillé chez cette fille … une innocence … Une deuxième exorciste, super, comme si elle n'avait que ça à faire.

Et apparement elle ne semblait pas connaître l'autre fille. Elles n'étaient pas dans le même camp … Une Exorciste et une Alkyste. Super, super. Restait plus qu'à savoir laquelle était l'exorciste, la tuer, aller en cours, se faire virer et rentrer à la maison. Trop cool. Ce programme fatiguait Nymphadora rien que d'y penser. 'Fin bon, de toute façon, l'meilleur moyen de savoir qui était qui était d'aller fouiller leur chambre. Mais là c'était pas vraiment l'moment, parce que dans la vie, faut quand même un minimum de discrétion. Pour l'instant elle allait continuer ce qu'elle était en train de faire lorsqu'elle fut interrompu, c'est à dire attendre ce fiacre, qui décidément tardait. Il aurait du arriver à 7h40 d'après l'horaire indiqué par le groom, il avait donc déjà quasiment trois minutes de retard, c'était outrant, insupportable, un manque de respect ignomineux pour ceux qui attendaient.

Elle vit alors la rousse s'approcher de l'autre. Manqu'rait plus qu'ces deux là s'acoquine, ce qui compliquerait encore la vie de la pauvre petite Noah innocente qu'elle était. Mais elle avait bon espoir, aux dernières nouvelles, Exorciste & Alkyste n'avaient jamais fait bon ménage, quelle bandes de boulets.

Le tintement lèger d'une clochette retentit. Alors que les autres abrutis se précipitait dans un chaos pas possible vers la porte, Nymphadora pris le temps de remonter élégamment les pans de sa robe avant de se diriger vers la porte. Tout cela pour voir le fiacre bondé partir sans elle.

"Diantre !" s'exclama-t-elle.

Décidémment, cette journée était pourrie, pourrie et encore pourrie. Elle allait devoir y aller à pied. Elle fit signe à son akuma, qui la prit sur son dos, se reçu deux bons coup de pied dans l'dos pour sa maladresse, et s'en fut en chancelant sous le poid de la jeune fille, car certe elle n'était pas bien grosse, mais sa robe faisait son poids.

Exorciste Messages : 619 Date d'inscription : 04/04/2011

A cet instant précis, ce qu'aurait voulu faire Aleyna étaient les choses suivantes : remonter dans sa chambre et partir dormir en attendant que tous ces gens douteux partent, qu'elle puisse enfin mener cette foutue mission à bien, sans alkystes et sans noah pour l'emmerder et l'obliger à faire des choses qu'elle aurait préféré éviter, tel que se battre. Voir même carrément se casser de cet endroit, rentrer à la congrégation et balancer son médiocre rapport à Komui en lui rejetant la faute sur le dos. C'était surement ce qu'elle aurait fait si la rousse, elle se sentit tout à coup moins seule avec ses cheveux roses pétant, ne s'était pas approchée d'elle comme pour entrer en contact avec elle.

« Salut ! »

Aleyna cligna des yeux et la fixa un moment sans rien dire. Cette phrase avait été prononcée avec tellement d'enthousiasme qu'elle se demanda s'il ne valait pas mieux offrir une corde à la jeune fille plutôt que lui répondre. En plus, comme ça elles pourraient se pendre ensembles. Oui, nan, mais là, Aley' en avait vraiment sa claque, de toute cette histoire. Mais dans son extrême humilité, elle s'accorda une réponse, sur un ton anormalement neutre.

« Salut … ? On se connait ? Ah, t'es surement une paumée, comme moi, envoyée par son « patron » pour faire un boulot merdique. Je t'en prie, assis-toi, qu'on médise sur les supérieurs ensembles. » dit-elle en désignant la chaise en face d'elle.

Certes, ce n'était pas vraiment la réponse à laquelle on se serait attendue en temps normal, mai bon. Aleyna n'avait vraiment pas envie de chercher et plus loin, et la bagarre avec qui que ce soit. Ah, oui. Précisions : elle avait fini par se rendre compte que Diane était une alkyste. Comment ? Bwarf, on s'en fout un peu après tout. C'est son petit doigt qui lui a dis, j'vous jure.

Par curiosité, son regard dévia soudain vers la noah extravagante, restée sur place, près de la sortie. Elle constata qu'elle venait de lamentablement louper son fiacre après l'avoir fixée, elle, pendant un bon bout de temps. Bon, il fallait donc supposer qu'elle se doutait désormais de quelque chose. Génial. Elle n'aurait pas pu le prendre, ce foutu fiacre ? Ca aurait évité plein d'embrouilles. Ah, tiens, le type à l'air ahuris la prit soudainement sur son dos. Un peu étrange comme conduite, mais ça prouvait qu'il était effectivement avec elle. Une nouvelle pulsion dans son bras la conduisit à penser que c'était, pour sa part, un akuma. Aleyna espéra instinctivement « pourvu qu'il soit de niveau 1 ! » bien que sa simple présence l'emmerdait déjà. Elle se retourna soudain vers l'alkyste.

« Amie ou ennemie ? »

Il fallait qu'elle sache. Car soit elles auraient alors la possibilité de s'allier, contre la noah, soit elles devraient toutes les trois se battre en triangle, sachant que l'autre aurait un léger avantage avec son akuma. Bref, de belles réjouissances en perspective.

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