" Tss ... T'es vraiment pathétique gamin, mais mon devoir est de le faire, alors je ne peux pas te laisser crever la gueule ouverte ..."

Un air de je m'en foutisme sur le visage ? Des yeux qui font pensaient qu'on se moquent de vous ? Une expression livide d'une pâleur tel que la mort ? Vous avez Maria-Agathe devant vous. Cette jeune demoiselle n'est-elle pas louche ? On dirait presque qu'elle c'est fait bannir de sa famille à cause de sa laideur invisible.

Ses cheveux bleus ont beau donner l'impression qu'ils sont court ; ce n'est point le cas, loin de là. C'est juste à cause de cette coiffure que lorsque nous la regardons, on diraient qu'elle n'a presque pas de tignasse capillaire alors qu'en réalité, si ses cheveux étaient détachés ils lui arriveraient sûrement au niveau de la taille comme ceux de Verity.

Verity Night ...

Le démon ...

Description mental de mon personnage.

Marie-Agathe ; la jeune demoiselle associable qui toute sa vie est resté enfermé sur elle, ne montrant jamais ses émotions ni même ses pensés ; se supprimant elle même son droit d'expression et amputant ainsi ses libertés fondamentales. Dire qu'elle aurait pu être aimé et adoré de tous ; hélas, elle avait décidé que ce ne serait jamais le cas , qu'elle resterait seule et ceci à jamais.

Vous auriez beau lui dire de sourire, elle ne le fera jamais, il faut avouer que ce n'est pas la gentillesse et la douceur qui l'habite mais plutôt le malheur et la colère. Jamais personne ne s'est plain de ça, alors pourquoi changer ceci ? Et pourquoi ne pas changer cela ? C'est un de ses fragments de personnalité qui ne peut pas être changé, et ceci malgré le temps ; et qui restera intact dans la mémoire des gens, et c'est qu'elle désire ; elle veut se faire haïr, que personne ne l'aime, elle désire se faire rejeter comme n'importe qui avant elle. Elle veut en quelque sorte mourir de solitude et de désespoir, mais pour elle, ce mot sonne comme une douce mélodie de bonheur, alors pourquoi pas ?

Verity Night est ...

Cet Akuma est ...

Histoire :

→ Ver. Verity Night ←

Qu'elles étaient belles, ces magnifiques jeunes filles, une avait des cheveux en or, l'autre avait des cheveux fait à partir de ciel. Et toutes les deux possédaient une chose qui les unissaient ; la joie de vivre. Elles s'étaient rencontré un beau jour de pluie dans un cirque, l'une faisait partie du spectacle, l'autre n'était qu'une observatrice passionnée. L'une était pauvre, l'autre était riche. L'une souhaitait mourir ; La deuxième souhaitait vivre à jamais. Des contrastes si puissants qu'ils ont fait en sorte qu'elles s'aiment et s’apprécie mutuellement ; qu'elles s'adorent à vie. Et pourtant, cette histoire n'est pas toute jeune ; elle ne devrait même plus vous êtres raconté, il faut avouer que ce n'est pas tout les jours que l'on voit une demoiselle qui semble avoir seize ans et qui pourtant, en a vécut bien plus ; un monstre, un démon, une créature du diable, un être déchu de ses propres terres et qui voit sa propre famille mourir comme si de rien n'était... Il faut avouer que ce n'est pas tout les jours qu'une histoire comme celle-ci se produit ; c'est juste un conte, une histoire raconté aux grands enfants de vingt-deux ans qui ne voient plus jamais le monde sous le même angle après ; c'est juste elle, c'est juste elles.

Cette première se nommait Verity ; Verity Night. Certaines personnes disaient que s'étaient une véritable moquerie de nommer une fille comme elle part ce nom car elle était si joyeuse et son sourire était si resplendissant qu'on aurait pu croire que c'était une blague ; Verity Sun aurait était plus approprié à son nom de demoiselle. Elle était douce et délicate, joyeuse et intelligente, elle était même née dans une grande famille du peuple noble de l'empire Britannique. Elle était si mignonne dans ses robes à froufrous, elle était si jolie qu'on aurait put croire qu'elle portait l’espérance de ce monde en elle.

La deuxième se nommait Marie-Agathe, une pauvre fille vendue dès son enfance à un cirque ; sa tristesse et tel que même la lune pleure devant son destin. Ce n'est qu'une simple Française qui a tant voyagé pour son métier ; mais ceci contre son gré. Elle désirait tant ne voir qu'elle, ne voir que sa chère et tendre mère. Mais tout ne se passa pas comme prévue ; alors elle mourut. Bonjour très chère, comment allez-vous ? Mal mon cher, mais sachez que c'est mon destin.

Mais seule la première de ces demoiselles nous intéresses, seul sa joie sans tâche et se douceur sans fin nous intéresse lors de cette partie de conte ; il faut dire qu'elle est si tendre que même le plus grand des tueur n'oserait la main sur cette jeune femme ; sur l'innocence même. Dire qu'elle est si belle, si calme, si tendre... Connaissez-vous son histoire ? Voulez-vous la connaître ? Écoutez donc, ouvrez vos oreilles, son passé vous sera enfin dévoilé.

→ Chapitre un ←

Un cri ; un pleur ; une larme ; un rire ; un sourire. Le manoir venait de subir ces cinq étapes et les habitants ne pouvaient que en être heureux. Certains était près de la Lady et de la nouvelle créature, d'autres était entrain de courir prévenir Monsieur de la bonne nouvelle qui venait d'entrer dans cette demeure emplis de noblesse.

Tout les servants se dépêchaient d'accourir devant cette dame au long cheveux d'or et le petit poupon dans cette serviette blanche. Dire qu'à l'origine, un bébé pleure lors de sa naissance, alors que ce dernier riait aux éclats ; ou plutôt faisait des bruitages qui ressemblaient étrangement à des rires. C'était donc une sorte d'illumination divine pour ces serviteurs qui ne pouvaient qu'être aux anges devant cette bouille adorable entrain de rire dans les fins bras de sa mère.

Un bruit de pas ce fait entendre, le Lord est arrivé dans la salle. Le silence tombe, mais pas entièrement, ce nouveau né continuait de rire malgré l'imposante stature de géniteur. Il s'approche ; personne n'ose parler : elle rit. Qui n'a pas crus qu'il allait se mettre à crier car il ne voulait pas d'un autre enfant ? Personne. Tous pensait qu'il allait battre sa femme ; comme d'habitude. Mais ce ne fut pas le cas, loin de là.

La jeune venait de relever sa tête, un magnifique sourire sur le visage, ses yeux fermait, une larme de joie coulant le long de sa joue ; elle était heureuse. Et puis, contre toutes attentes, elle parla avec une sorte de timidité que personne n'avait plus entendu depuis la première fille de cette dame.

« Elle a les mêmes yeux que toi … »

Elle tend la nouvelle personne qui vient d'arriver dans ce monde en direction de son époux. L'air grave de ce dernier disparaît automatiquement ; un sourire naissant sur son visage le remplaçant ainsi. Ô qu'elle était belle, cette jeune demoiselle. Ô qu'elle était douce, cette jeune gamine ; ô qu'ils l'aimaient, c'était leur fille. Monsieur sourit doucement, il est aimé et en est fière. Pourquoi devrait-l s'énervait alors qu'il vient d'avoir une ravissante jeune fille dans les mains ? Pourquoi devrait-il se faire détester alors qu'elle n'est encore qu'une jeune fille ? Il parle calmement, mais on pouvait sentir sa joie à travers ses mots.

« Nous la nommerons Verity ; Verity Night.
-Ce nom lui va à ravir Sir. »

Son nom est trouvé, Verity est née. N'est-elle pas belle ? On dirait presque une poupée, pourtant, elle est beaucoup plus fragile que ces jouets ; mais son amour envers le monde dès sa jeunesse pourrait peut-être la protéger, mais peut-être ne veut pas dire que ça sera le cas ; c'est juste une pauvre chance de vivre.

Et dire que cette jeune gamine encore insouciante n'imagine pas les danger de ce monde ; et dire qu'elle n'ose même pas comprendre les danger de Londres ainsi que ceux du monde ; en faite, ce n'est pas qu'elle ne veut pas, ni-même désire, c'est juste qu'elle ne peut pas ; après tout, n'importe quel humain ne peut pas être au courant de son futur ; et encore moins de sa mort. Alors pourquoi cherchait à savoir si on sait pertinemment qu'on mourra à la fin?

Et le monde tourne, la terre bouge, le soleil se cache petit à petit, la nuit se lève, le manoir éteint les bougies ; tout se plonge dans la nuit.

→ Chapitre deux ←

UNDERCOOOOOOOO' ~ °^°

Histoire :

→ Ver. Marie Agathe ←

Qu'elles étaient belles, ces magnifiques jeunes filles, une avait des cheveux en or, l'autre avait des cheveux fait à partir de ciel. Et toutes les deux possédaient une chose qui les unissaient ; la joie de vivre. Elles s'étaient rencontré un beau jour de pluie dans un cirque, l'une faisait partie du spectacle, l'autre n'était qu'une observatrice passionnée. L'une était pauvre, l'autre était riche. L'une souhaitait mourir ; La deuxième souhaitait vivre à jamais. Des contrastes si puissants qu'ils ont fait en sorte qu'elles s'aiment et s’apprécie mutuellement ; qu'elles s'adorent à vie. Et pourtant, cette histoire n'est pas toute jeune ; elle ne devrait même plus vous êtres raconté, il faut avouer que ce n'est pas tout les jours que l'on voit une demoiselle qui semble avoir seize ans et qui pourtant, en a vécut bien plus ; un monstre, un démon, une créature du diable, un être déchu de ses propres terres et qui voit sa propre famille mourir comme si de rien n'était... Il faut avouer que ce n'est pas tout les jours qu'une histoire comme celle-ci se produit ; c'est juste un conte, une histoire raconté aux grands enfants de vingt-deux ans qui ne voient plus jamais le monde sous le même angle après ; c'est juste elle, c'est juste elles.

Cette première se nommait Verity ; Verity Night. Certaines personnes disaient que s'étaient une véritable moquerie de nommer une fille comme elle part ce nom car elle était si joyeuse et son sourire était si resplendissant qu'on aurait pu croire que c'était une blague ; Verity Sun aurait était plus approprié à son nom de demoiselle. Elle était douce et délicate, joyeuse et intelligente, elle était même née dans une grande famille du peuple noble de l'empire Britannique. Elle était si mignonne dans ses robes à froufrous, elle était si jolie qu'on aurait put croire qu'elle portait l’espérance de ce monde en elle.

La deuxième se nommait Marie-Agathe, une pauvre fille vendue dès son enfance à un cirque ; sa tristesse et tel que même la lune pleure devant son destin. Ce n'est qu'une simple Française qui a tant voyagé pour son métier ; mais ceci contre son gré. Elle désirait tant ne voir qu'elle, ne voir que sa chère et tendre mère. Mais tout ne se passa pas comme prévue ; alors elle mourut. Bonjour très chère, comment allez-vous ? Mal mon cher, mais sachez que c'est mon destin.

Pour cette partie de conte, uniquement la deuxième nous importe ; son passé, son histoire, et peut-être même son futur. Elle ne souriait jamais ; elle était jour celle qui était maltraité, détestait, maudite ; hait. Mais bon, il faut dire que c'était un peu normal vu que tout ceux qui essaient de lui donner de l'amour se le voyaient rendre en mal ; elle n'aimait pas qu'on l'aime, elle n'osait même pas dire le mot « amour », alors pourquoi le faire ressentir à quelqu'un d'autre ?

→ Chapitre un ←

Une gifle part, la douleur se présente, des paroles hurlés assez fort pour que toute la maison entende ce qui se dit ; elle en est la responsable. Vily vient de se faire repérer ; elle ne peut désormais plus cacher qu'elle est tombé enceinte, elle ne peut donc plus travailler ; après tout, une prostituée de maison close ne peut pas travailler avec un enfant dans les pattes. La France est cruelle ; cette France est cruelle, et ce monde l'est encore plus. Alors comme des idiots, ils la jettent dehors. Un cri part :

« N'importe quel idiot se rendra compte que tu es enceinte Vily ! »

La douleur de cette femme de joie se fait dur, elle ne souhaitait pas être rejeté du seul endroit où elle pouvait vivre ; elle ne désirait pas se faire jeter du seul endroit où elle avait sa place ; et pourtant, c'est ce qui venait de se passer et elle ne pouvait rien y faire : elle venait bel et bien de se faire virer devant les regards de ses con-sœurs. Ce n'était pourtant pas sa faute, les moyens de contraceptions n'étaient pas à sa portée et elle n'avait pas fait exprès de tomber enceinte ; elle n'avait pas fait exprès de cacher sa vie d'une telle manière.

Et dire que ces femmes parlaient devant elle, croyant sûrement qu'elle ne les entendait pas ; croyant peut-être qu'ainsi elles passeront inaperçus parmi les chuchotement des créatures de luxures. Quelles étaient bêtes de penser ainsi ; après tout, elle était peut-être enceinte mais elle n'était point sourde.

« Dommage pour elle, elle était faîtes pour ce métier...
-Ce n'est pas la première a qui ça arrive...
-Oui, mais la dernière est morte de faim avant d'avoir pu faire naître son enfant. »

Une larme ; devait-elle en verser une ? Devait-elle montrer la peur qui commençait à la hanter ? Pourquoi ne pouvait-elle pas hurler le point de non-retour ; pourquoi ne pouvait-elle pas pleurer de peur ? Et pourquoi tout ce passait ainsi ; elle n'avait en aucun cas souhaité ça ; c'était à peine si elle avait dit le mot « enfant » depuis sa carrière ; certes, dé fois, elle en parlait avec ses collègues, mais en aucun elle n'avait dit qu'elle allait être mère. En plus de ça, elle n'avait pas vraiment grossis, ou du moins elle n'avait rien pris de trop voyant ; tout ce qu'elle possédait, c'était peut-être des cernes au niveau des yeux ainsi qu'une fatigue ; mais ces signes ne pouvaient pas suffit, alors pourquoi diable avait-il compris ? Pourquoi son patron avait-il su qu'elle avait par malheur réussis à tomber dans la zone interdite du métier ? C'était si louche et si peu compréhensible.

Et puis les mois filèrent, le temps dansa devant-elle, il passait et repassait comme si c'était un jeu du chat et de la souris ; le chat étant le temps, la souris son destin ; ce monde changeait pour elle, mais peut-être pas aussi bien qu'on pourrait le croire.



UNNNNNNDERCOOOOOO' -oui, cette fiche sera longue, trèèèès longue-